Les puristes l’attendaient avec impatience, elle est désormais officielle. Elle, c’est la Porsche 911 GT3 pack Touring. Une 911 savoureuse qui s’inscrit tout droit dans la prestigieuse lignée des 911 R. Est-elle avant tout une réponse à la spéculation ? A-t-elle les arguments pour déclencher des coups de cœur ? Nous allons passer en revue la Porsche 911 (991) Touring.
Présentée au salon de Francfort, la Porsche 911 GT3 Touring a l’air relativement sage, dans cette somptueuse robe bleue. Toutefois, nous pouvons assez rapidement distinguer des éléments qui trahissent les prétentions de cette redoutable 911.
Il y a tout d’abord, l’imposant bouclier avant, directement repris de la GT3 traditionnelle, les rétroviseurs Sportdesign, un rabaissement de 25 mm, les jantes à écrou de serrage central et une grille de capot redessinée. Quant aux étriers de frein jaunes, ils trahissent la présence du PCCB, les disques de frein alliant carbone et céramique.
Car la force de cette GT3, c’est de faire l’impasse sur l’aileron fixe. Il est désormais mobile, comme sur une Carrera. Esthétiquement, elle est donc relativement passe-partout, seul un œil exercé y trouvera la parenté avec la précédente 911 R… Et même à la sacro-sainte 911 Carrera RS de 1973, d’un point de vue plus général.
La nouvelle 911 du puriste
Cette Porsche 911 GT3 Touring pourrait bien devenir la nouvelle idole des puristes. Tous les ingrédients semblent en effet réunis. Reprenons ces différents aspects.
La ligne, tout d’abord, est dosée à la perfection. Ni trop ni trop peu. Cette 911 Touring peut autant passer inaperçue aux yeux du néophyte, qu’être immédiatement reconnue aux yeux du passionné.
Ensuite, il y a le moteur. Faut-il préciser qu’il s’agit d’un Flat-6 ? Néanmoins, ce dernier est atmosphérique et profite d’une cylindrée de 4 litres, distillant 500 chevaux et 460 Nm de couple. Sans surprise, cette mécanique est directement reprise de la GT3 classique à aileron.
La boîte manuelle est imposée. Bien que redoutablement efficace, la boîte PDK ne fait pas l’unanimité. Pour séduire les plus aguerris, la firme de Stuttgart s’est exclusivement dotée d’une boîte manuelle à 6 rapports. Pourtant, cette dernière n’a rien de classique. Elle dispose d’une fonction de double débrayage automatique pour mieux entendre les vocalises du Flat-6. Qui s’en plaindra ?
Enfin, une Porsche 911 n’est rien sans le dynamisme. La GT3 Touring dispose d’une boîte de vitesse transmettant la force à un système de blocage du différentiel arrière. Le freinage, comme la tenue de route, sont ainsi plus précis et incisifs.
Un futur collector ?
Alors que la 991 R n’a été produite qu’à 991 exemplaires, le tirage ne serait pas limité pour cette 911 GT3 Touring. L’effet de spéculation qui suit bon nombre de modèles Porsche devrait ainsi être contenu.
Voulue luxueuse et sportive, cette GT3 Touring peut bénéficier de toutes les options propres à la GT3 classique. Seul l’alcantara a été remplacé par le cuir dans l’habitacle, pour une ambiance plus cosy.
Le prix restera calqué sur celui de la GT3 classique, soit 155 255 €. Un prix bien placé pour ce modèle qui fera certainement l’unanimité chez les porschistes. Ce modèle peut déjà être commandé en Centre Porsche, avis aux intéressés.
Quand nous parlons de compétition automobile dans les années 1960, il est impossible de ne pas citer des références que la Ferrari 250, la Ford GT-40. Et bien entendu la Porsche 908. Quelle dispose de la queue courte ou longue, cette voiture a marqué les esprits jusqu’au début des années ’80, avant de disparaitre. La belle s’apprête à renaître, sous une forme quelque peu différente…
La renaissance de la Porsche 908
Cinq designers se sont associés pour réaliser un remake de la célèbre Porsche 908. Le fruit de leur travail se nomme Porsche 908/04. Un concept-car de voiture de course taillée pour l’endurance.
Esthétiquement, cette 908 marque sa parenté avec l’originale avec un arrière très long, qui rappelle les long tails qui ont couru au Mans à la fin des années 1960. Le design est assez musclé, avec une ligne de caisse haute, des ailes parfaitement dessinées et très fluides. L’aileron est directement intégré le long des ailes arrière, au dessus d’un copieux diffuseur.
Pas moins de 2 ans de travail et 5 000 heures de travail ont été nécessaires pour aboutir à ce résultat. L’idée pour ces cinq designers n’est pas nécessairement aboutir à un modèle de série. Non. La 908/04 a une toute autre vocation.
C’est probablement pour cela que, malgré la création d’un site internet dédié et d’une somptueuse vidéo de présentation, nous n’avons aucune information quant à la motorisation. Tout juste pouvons-nous percevoir un logo « e-Hybrid » à divers endroits de la carrosserie.
Quant à l’habitacle, il se veut des plus futuristes, avec des baquets très enveloppants, des commandes minimalistes et des compteurs au design assez innovants, mêlant le rétro avec des technologies de pointe telles que l’affichage tête haute.
Un concept Vision Gran Turismo
Ce concept-car a une vocation principale : figurer dans le septième opus du célèbre jeu vidéo Gran Turismo. Une pratique surprenante mais qui tend à se répandre. Ces concept-cars qui jouent d’abord la carte du virtuel portent un nom ; les concepts Vision Gran Turismo.
De plus en plus de constructeurs y ont recours. Un bon moyen d’observer les réactions du public avant d’envisager plus ou moins sereinement d’y apporter une suite.
Les joueurs de Gran Turismo Sports pourront, dès l’automne, être aux commandes de cette Porsche 908/04. Un privilège qui restera peut-être exclusivement virtuel…
Vers une production échelle 1 ?
Pour l’instant, ce n’est pas au programme. Selon nous, il y a même peu de chances que des Porsche 908/04 frôlent le bitume. Porsche ayant retiré ses LMP1 de l’endurance, ce n’est certainement pas pour y revenir des suites, les retombées étant trop maigres.
Néanmoins, ce concept-car n’en demeure pas moins une très belle étude de style, avec des lignes assez novatrices et qui pourraient peut-être, se retrouver sur des modèles de série futurs.
Pour cette saison 2018, Porsche a développé six Porsche 911 RSR, spécialement revues. Ces derniers disposent désormais d’une puissance de 510 chevaux et conservent le Flat-6 en position centrale arrière. Fait marquant : les six exemplaires ont déjà tous trouvé preneur ! Et l’écurie Porsche officielle pourrait bien ajouter une troisième 911 RSR dans la catégorie GTE-Pro du championnat WEC…
991 000 € pièce
Chaque Porsche 911 RSR cru 2018 est vendue au prix unitaire de 991 000 €. Cela n’a pas empêché les acheteurs et pilotes de se ruer dessus. Certaines ont été vendues à des équipes déjà existantes, à l’image du team Proton Compétition, déjà engagées dans le championnat WEC (n°88 et 93 en 2017) et dont les moutures actuelles remontaient à 2016.
Frank-Steffen Walliser est le patron de Porsche Motorsport. Peu après la réservation des six 911 RSR, il a appuyé le fait que « la demande est incroyable. Nous n’avons jamais vu quelque chose comme cela ».
Une troisième 911 RSR en GTE Pro ?
Peu après, Walliser a déclaré l’éventualité d’une troisième 911 RSR officielle engagée en catégorie GTE Pro, à Daytona, Sebring et lors des 24 Heures du Mans. Cette démarche prendrait de l’intérêt suite au retrait de la catégorie LMP1, des 919 Spyder. Augmenter le nombre de voitures engagées, c’est augmenter d’autant les chances d’accéder au podium de la catégorie.
Une voiture toujours plus aboutie
Améliorée d’année en année, la Porsche 911 RSR a gagné conjointement en efficacité et en fiabilité. Le moteur implanté en position centrale arrière a dérangé les puristes, mais satisfait les pilotes qui disposent désormais d’une meilleure répartition des masses. Le Flat-6 atmosphérique dispose d’une cylindrée de 4 litres, offrant 510 chevaux.
Porsche et ses motorisations, c’est une longue histoire… Ponctuée de réussite, de plaisir, mais aussi de moments plus délicats. Il y a, par exemple, l’apparition puis la disparition du moteur diesel ou encore la généralisation du turbo sous le capot des 911 Carrera. Après le report de la technique hybride, qu’en est-il du moteur électrique ?
La place du moteur électrique chez Porsche
L’ascension fulgurante de l’hybride
Tout d’abord, le moteur hybride connaît un succès croissant. Oliver Blume, patron de Porsche, a analysé le choix de motorisation sur un modèle phare, le Cayenne. En Belgique, 80% des modèles vendus étaient hybrides, contre seulement 18% de diesel et 2% d’essence.
Cela démontre l’intérêt croissant du public pour le moteur hybride. La Panamera a suivi peu de temps après, en faisant de la Turbo S E-Hybrid une véritable vitrine technologique, de 680 chevaux.
L’hybride, qui mêle thermique et électrique, tend irrémédiablement à la démocratisation du moteur électrique. Il vise à rassurer les réticents et notamment ceux qui ont besoin d’une réelle autonomie. La future Porsche 911 n’héritera cependant pas d’une version hybride. Mais qu’en est-il d’une potentielle motorisation électrique ?
Généralisation du moteur électrique : par où commencer ?
Lutz Meschke, directeur financier de la marque, a déclaré que la 911 « ne sera certainement pas la première voiture de sport, dans notre gamme, que nous électriserons complètement ».
La raison, elle est d’abord technique : un moteur électrique est généralement lourd, avec l’emploi de batterie, ce qui modifie la répartition des masses et qui changerait probablement d’une manière assez radicale le comportement.
Ensuite, le blocage est aussi – et surtout – passionnel. Le Flat-6 est indissociable de l’image de la Porsche 911. Il contribue à sa noblesse et au plaisir que peut procurer ce modèle. L’enlever au détriment d’une autre mécanique, c’est perdre une bonne partie de la clientèle. Il suffit de se remémorer le récent passage à la suralimentation des 991 Carrera restylées pour appréhender la situation…
Le moteur électrique, c’est pour quand ?
À cette question, il est malheureusement difficile de répondre.
Porsche ne propose aucun modèle fonctionnant 100% à l’électricité. Toutefois, les récents choix opérés par la marque démontrent l’intérêt de la marque pour cette énergie dite propre. Le récent concept car Mission E démontre cet attrait.
Dans une toute autre mesure, le retrait des modèles LMP1 en endurance au profit de la Formule E va en ce sens. Porsche pourra prouver au grand public, son savoir-faire en la matière. Nul doute qu’une victoire dans cette discipline permettra de rassurer les clients potentiels sur le fait que le moteur électrique est au point. Et qu’il est une alternative tout à fait louable, sûre et économique.
En définitive, les déclarations de Meschke nous laissent comprendre que la 911 électrique n’est aucunement pour demain. Ni même pour après-demain. Les Panamera, Cayenne et Macan occupent une bien meilleure place dans la file d’attente. Et qui sait ? D’autres modèles pourraient peut-être venir enrichir la gamme ?
Plusieurs médias font écho de cette future Porsche 911 destinée à un public de puriste. Il y a deux écoles à ce sujet et peut-être un ou deux modèles à la clé. Hier, nous évoquions le retour potentiel de la 911 R. Aujourd’hui, nous allons analyser une autre hypothèse… Nettement plus accessible, peut-être moins plaisante, mais tout aussi probable.
Un retour à la 911 Carrera CS
Les puristes représentent un public à ne pas négliger, chez Porsche. Pour eux, certains modèles semblent directement indiqués, telles que les 911 R ou encore la GT2 RS. Malheureusement, ce sont des modèles limités dans le temps, dont la cote ne cesse d’augmenter.
Porsche pourrait tout à fait envisager de présenter une 911 Carrera CS à ses clients en recherche d’authenticité. Cela a déjà été le cas en 1987, quand la 911 Type-G est proposée en Club Sport. Elle est alors affichée au même prix que la Carrera classique, mais se distingue par un habitacle allégé, aux suspensions raffermies avec une vocation : se faire (encore plus) plaisir au volant.
Cette version a rapidement disparu de la gamme 911, supplantée par une version Carrera RS sur la 911 type 964. Celle-ci perdurera sur la génération suivante (993) avant de s’éteindre définitivement.
Une Porsche 911 simple, mais efficace
Si Porsche décidait de renouveler sa Porsche 911 Carrera Club Sport, il y aurait de bonnes chances qu’elle soit basée sur la version « Carrera » classique, développant 370 chevaux…
Les équipements de confort, les multiples couches d’insonorisant seraient alors éliminés dans le but de gagner un maximum de poids.
Toutefois, plusieurs questions se posent : Porsche devrait donner une identité propre à cette version, tant d’un point de vue esthétique, que mécanique. Le rapprochement avec la version GTS serait alors inévitable.
De même, le Flat-6 suralimenté suffirait-il a déclencher des coups de cœur ? Rien n’est moins sûr. Porsche aurait la possibilité de remettre aux normes son Flat-6 atmosphérique mais cela aurait inexorablement un coût supplémentaire et clairement, Porsche n’a aucunement l’intention de faire marche arrière.
Enfin, pour éviter toute concurrence en interne avec la GT3, la différence de puissance devra être importante. Par conséquent, dépasser les 400 chevaux et les 115 000 € pourraient amenuiser les chances de toucher le public…
Après avoir officialisé son retrait de l’endurance en catégorie LMP1 au profit de la Formule E, Porsche pourrait aller encore plus loin dans sa conquête. Le directeur financier de la marque, Lutz Meschke, a en effet déclaré que la Formule 1 pourrait être un objectif futur… Mais ce n’est pas encore pour tout de suite…
La Formule E, objectif n°1
Jugés insuffisants, les retours sur investissements de l’endurance n’ont pas convaincu Porsche de persister dans cette voie. À la fin de la saison, les 919 Spyder rentreront définitivement au garage.
La Formule E, l’équivalent de la Formule 1, mais en version électrique, va désormais concentrer l’énergie de la marque. L’objectif est de pénétrer cet univers en temps qu’écurie d’usine dès la saison 2019. Un objectif audacieux pour ce championnat qui fait de plus en plus parler de lui.
La Formule 1… Et pourquoi pas ?
Cependant, Porsche pourrait ajouter une corde à son arc en s’essayant à la Formule 1. Cette fois, ce ne serait pas en tant qu’équipe mais bien en tant que motoriste.
Trois écuries pourraient être intéressées – potentiellement – par des moteurs Porsche, il s’agit de Williams, qui a déjà travaillé avec Porsche, Red Bull, dont les relations avec le groupe VAG sont au beau fixe ou McLaren, qui pourrait aussi être intéressée, malgré une concurrence assez sévère dans le domaine des supercars de série.
Enfin, cet objectif ne pourrait être atteint qu’à une seule condition : que l’évolution de la réglementation moteur, attendue en 2021, autorise l’implantation de technologies moins coûteuses qu’actuellement. Notamment l’abandon des moteurs hybrides, au profit d’un probable V6 biturbo.
La Porsche 911 R, tirée à 991 exemplaires, s’est imposée comme le modèle fétiche des puristes. Boîte manuelle, Flat-6 atmosphérique, belle ligne, cette Porsche avait tout pour plaire. Elle a d’ailleurs défrayé la chronique en s’affichant à des prix stratosphériques. Et si Porsche lui assurait une descendance ? C’est en tout cas ce qu’à laissé entendre Michael Steiner, responsable recherche et développement de la marque basée à Stuttgart…
La 911 R, objet de tous les désirs…
Quand nous parlons de la 911 R, il est bien difficile de ne pas penser à la terrible spéculation qui s’en est suivie. Porsche a fait en sorte que ce phénomène ne se reproduise plus en contrôlant le profil des acheteurs désireux d’acquérir la dernière 911 GT2 RS. Avec plus ou moins de succès…
Revenons à la 911 R. Si elle a connu un tel succès, c’est parce qu’elle est certainement le modèle le plus authentique de la gamme. Côté ramage, la boîte manuelle mariée au Flat-6 a suffi à faire rêver les puristes. Côté plumage, il y a ce côté faussement sage, avec un look inspiré des modèles GT3, mais sans aileron, ce qui est plus discret. Et puis il y a cette sympathique déco, configurable à la carte, qui n’est pas sans rappeler les modèles d’antan.
La demande explose, l’offre est maigre. Porsche pourrait donc lui offrir une descendance. Mais sous quelle forme ?
Une nouvelle 911 R ?
C’est une hypothèse. Selon Michael Steiner, une version pour puristes, non limitée en nombre, pourrait voir le jour prochainement. Cela n’est pas une confirmation. Mais il est tout à fait concevable qu’une version allégée et sportive soit présentée au prochain salon de Francfort.
Une Porsche 911 type 991 restylée R serait une réponse possible. Ceux qui ont acheté la première mouture, numérotée, frissonneront certainement d’un retour en production qui pourrait potentiellement diminuer la cote de leur belle…
Sauf qu’en matière d’automobile, d’autant plus quand la passion intervient, nous savons pertinemment que les modèles numérotés conserveront leur place dans le cœur des puristes. Quittons l’Allemagne et prenons l’exemple de la Renault Clio Williams. La première série, numérotée, est nettement plus cotée et vénérée que les Clio Williams de seconde série, non numérotées.
Cette hypothèse est tout aussi valable que la 911 GT3 Touring dont vous parlions précédemment. Quel que soit le modèle retenu, la constante sera la recherche d’authenticité. La boîte manuelle et le Flat-6 atmosphérique seraient les deux ingrédients que les puristes n’abandonneraient pour rien au monde ! Un plaisir simple, en somme !
La Porsche Carrera Cup France est bien souvent un tremplin pour accéder aux plus hauts niveaux de la compétition automobile. La saison 2018 est en cours de préparation et une session de recrutement aura lieu courant octobre, sur le circuit Paul Ricard, au Castellet. Nous vous proposons de découvrir les conditions pour y participer, le coût et les opportunités qui s’offriront au futur pilote de la Porsche Carrera Cup France édition 2018.
La Porsche Carrera Cup entamera sa 32ème saison en 2018. Cette discipline, d’abord courue en Porsche 944 Turbo, est depuis 1991 disputée au volant de Porsche 911. Toutes les voitures sont identiques. Pour la prochaine saison, il s’agira de Porsche 911 type 991 restylée GT3 Cup, dont le Flat-6 atteint 4.0 litres de cylindrée pour une puissance totale de 485 chevaux et un poids de 1 225 kg.
La Carrera Cup, c’est une succession de six courses : au Mans, à Spa Francorchamps, Barcelone, au Castellet, Dijon et Magny-Cours. Les pilotes sont classés dans la catégorie A, pour ceux qui ont déjà participé et en B, pour les Gentleman Drivers. C’est-à-dire ceux qui débutent dans la Carrera Cup. Chaque catégorie à son propre classement puis les deux sont réunies au sein d’un classement général.
Des prix intéressants et un tremplin
À l’issue de chaque course, des prix récompensent les sept premiers. Le vainqueur remporte 3 700 € par course, le second 2 400 €, le troisième 1 500 € et cela décroit jusqu’aux 500 € du septième.
La course qui se dispute au Mans compte double en terme de rémunération.
Enfin, le pilote le mieux classé dans la catégorie A remporte 45 000 €, le second 20 000 € et le troisième 15 000 €. Une prime de 6 000 € est accordée à l’équipe la mieux classée.
Dans la catégorie B, le prix du vainqueur est de 15 000 €. Il en est de même pour les Rookies (ceux qui débutent en catégorie A).
Mais plus encore que les rémunérations, remporter la Porsche Carrera Cup, c’est le chemin royal pour accéder au poste de pilote professionnel. Kevin Estre, notamment, qui a remporté la saison 2011, court désormais au championnat FIA WEC. Ce qui l’a amené à participer aux 24 Heures du Mans dès 2016, au sein du team officiel Porsche en catégorie GTE.
Combien coûte l’inscription ?
Pour vous inscrire au programme de détection, le Junior Programme de la Porsche Carrera Cup, il vous faudra débourser 2 600 € HT (ou 2 360 € HT si inscription avant le 20 septembre 2017).
Mais l’argent ne suffit pas. Il convient d’être né(e) entre le 30 novembre 1992 et le 1er mars 2002. Il faut de plus ne jamais avoir couru en Porsche Carrera Cup ni en Porsche GT3 Cup Challenge. Une expérience de haut niveau en karting est demandée ou bien en sport automobile autre. Pour finir, il convient d’être éligible à recevoir potentiellement une licence internationale C.
C’est sur le circuit Paul Ricard, du 10 au 13 octobre 2017 que les futurs pilotes sont conviés pour une séance de détection.
Pour vous inscrire ou pour plus de renseignements, contactez Emeric Tougeron, chef de produit Motorsport Porsche France. Téléphone : 07 88 70 36 32 ou par mail à : emeric.tougeron@porsche.fr.
911andCo met à disposition des Porsche Clubs un annuaire et une fiche de présentation leur permettant de se faire connaître.
Chaque Club a également la possibilité de nous transmettre ses photos et récits de sorties diverses pour nous faire découvrir leur club et tous leurs évènements / activités.
Cette semaine, c’est le Porsche Club Lorraine qui nous raconte sa sortie sur 2 jours à la découverte du Luxembourg.
Un week-end en mode conduite dynamique pour messieurs…
Les 23 et 24 mai derniers, le Porsche club Lorraine organisait une sortie touristique au Luxembourg.
Ce ne sont pas moins de treize équipages qui s’étaient donnés rendez-vous le samedi matin à proximité de la ville de Luxembourg pour prendre le départ d’une randonnée le long des routes vallonnées à destination de Clervaux.
Parmi les membres présents se trouvaient d’anciens membres comme de nouveaux membres dont c’était la première sortie avec le Club.
Cette matinée débuta par 2H30 de conduites dynamiques avec pour toile de fond les magnifiques paysages du Nord du Luxembourg.
Les porschistes présents ont pu remercier chaleureusement leurs conjointes qui les ont laissés s’adonner au plaisir de cette conduite des plus appréciable sur les petites routes luxembourgeoises. Il avait été dit bien évidemment que l’après-midi leur serait consacré.
Rassurez-vous, même si a conduite a été « dynamique » dans les petits cols luxembourgeois, le 50 en agglomération a scrupuleusement était respecté. Il faut dire que les conséquences d’un excès de vitesse en agglomération au Luxembourg ne sont pas anodines.
… puis détente pour le plus grand plaisir de ces dames !
Après cette sympathique séance de conduite, le groupe du Porsche Club Lorraine a rejoint le magnifique Hôtel Le Clervaux. Un grand bravo aux organisateurs Didier et Christian qui avaient négociés de somptueuses suites, que l’on pourrait qualifier d’exceptionnelles, à un tarif plus que raisonnable à la vue du tarif du Package du week-end All Inclusive !
Suite au déjeuner pris au restaurant le Rhino, chacun a pu découvrir le château et ses musées,escalader le sentier jusqu’à l’Abbaye bénédictine ou profiter de l’espace wellness de l’hôtel.
La journée s’est terminée par un apéritif au Cabana Lounge suivi d’un diner au restaurant gastronomique italien le Da Lonati.
Un groupe hétérogène et riche de ses différences
Après une bonne nuit de repos et un petit déjeuner copieux, le groupe a repris sa route sous le soleil et sillonné la campagne luxembourgeoise. Le plateau des Porsche présentes était d’une belle richesse : le groupe présentait plusieurs 997, un Boxster 987, un magnifique Boxster GTS Rouge, une 911 GT3 (991) au covering Bleu Miami, un superbe Cayman GT4 Bleu Cobalt, la magnifique 964 Cabriolet noir de notre cher président, une somptueuse Panamera 4S Diesel de dernière génération et même une splendide 914 de couleur Orange Signal!
Les échanges à tables ont été riches pour tous, les jeunes porschistes bénéficiant de tout l’éclairage des plus expérimentés et de leurs très judicieux conseils, les conjointes apprenant à se connaître. Ce type de sortie est propice et essentiel dans un Club Porsche pour apprendre à se connaître et pourquoi pas nouer de réels liens d’amitié autour de cette passion commune.
Après un détour par Esch sur Sûre, les porschistes ont rejoint Vianden. Arrivé dans cette coquette bourgade luxembourgeoise, c’est au bord de l’Our que les participants ont pu profiter d’un excellent déjeuner. Le week-end s’est terminé par la visite du château de Vianden, magnifique édifice surplombant la ville.
Les participants ont grandement apprécié ce week-end où conduite, relaxation, gastronomie et visites touristiques se sont alternés pour le plaisir de tous. L’ambiance était des plus conviviale et des plus chaleureuse. Cette sortie Luxembourg a été aux yeux de tous les participants une véritable réussite.
Le magnifique Château de Vianden
Vous habitez la Lorraine ? N’attendez pas! Rejoignez le Club Porsche Lorraine en contactant le numéro indiqué dans la fiche de notre annuaire présentant ce sympathique club de passionnés.
Au moment de se quitter…
Ce week-end, c’est au circuit de Chenevrière que le Club Porsche Lorraine se donne rendez-vous pour une séquence pilotage.
Vendu à plus de 760.000 unités depuis 2002, le Porsche Cayenne a été pour Porsche un véritable succès commercial. Cette troisième génération de Porsche Cayenne ne laisse pas indifférente et a été entièrement développée sur de nouvelles bases techniques : équipée de nouvelles motorisations, d’un nouveau châssis allégé de 35kg et d’un système de contrôle innovant, cette Cayenne ultra-connectée est amenée à connaître un franc succès et renforcer encore les chiffres des ventes de Porsche, déjà exceptionnels !
Pour dévoiler cette 3ème génération de Porsche Cayenne, Porsche a tenu un événement spectaculaire ce mardi soir à Stuttgart-Zuffenhausen. La présentation de ce nouveau Cayenne a été réalisée au musée Porsche et a été accompagnée de « Sinfonie des Lebens », une pièce composée par Jesse Milliner et interprétée par le Bohemian Symphony Orchestra Prague et l’ensemble à vent de l’Orchestre Gewandhaus de Leipzig, partenaire de Porsche. La symphonie a été complétée par une troupe de danseurs, de musiciens et d’un spectacle lumineux parfaitement orchestré. Revenons tout de même à l’essentiel… ce nouveau Porsche Cayenne…
Motorisation : un V6 de 2,9l associé à 2 turbos
Tout comme les modèles de la gamme des 911, le nouveau Cayenne voit arriver le « Full Turbo » dans ses Cayenne à motorisation essence. A la vue de ce choix technologique et de l’abandon du Diesel sur la gamme des Panamera, il est quasi certain, qu’aucun Cayenne Diesel ne verra plus le jour chez Porsche.
Les deux premiers modèles disposeront de moteurs à essence de six cylindres de 2,9 litres associés à 2 turbocompresseurs. Ils seront disponibles soit avec :
une puissance de 340 ch pour un couple max de 450 Nm (avec une consommation de 9,0-9,2l/100 km) pour le Cayenne. Côté performance, le Cayenne nous propose un très honorable 0 à 100 km/h en 6,2 secondes (5,9 secondes avec le paquet Sport Chrono) pour une vitesse maximale de 245 km/h.
une puissance de 440 ch pour un couple max de 550Nm (avec une consommation de carburant de 9,2-9,4l/100 km) pour le Cayenne S. Celui-ci dévore le 0 à 100 km/h en à peine 5,2 secondes et même descend sous les 5 secondes, avec 4,9 s, en mode Sport Chrono. La vitesse maximale de ce nouveau Cayenne S est de 265 km/h
Ces performances sont plus qu’honorables pour des SUV pesant respectivement 1985kg et 2020 kg. L’apparition du Turbo sur les Cayenne et Cayenne S en fond désormais de véritable SUV sportif.
Nouveau Cayenne : sportive, routière et tout-terrain à la fois
Pour lui donner un côté encore plus Porsche, le nouveau Cayenne dispose désormais de pneus de dimensions différentes à l’avant et à l’arrière et d’un système de direction de l’essieu arrière. De série le diamètre des roues passe de 18 à 19 pouces.
Boite Tiptronic S de la nouvelle Porsche Cayenne 2018
Par ailleurs, sa boîte de vitesse Tiptronic S propose des temps de réponse encore plus courts. Associé au mode Sport Plus, ce nouveau Cayenne est devenu une véritable sportive tout-terrain.
Avec son moteur à bi-turbo et ses nouvelles évolutions, ses caractéristiques de sportives s’en trouvent clairement renforcées et vont ravir les porschistes lui reprochant jusque là de n’être qu’un « ersatz » de sportive.
Nous vous en dirons plus lors de l’essai de ce nouveau SUV ultrasportif.
En plus de son caractère de sportif, ce nouveau Cayenne dispose de véritables atouts en mode tout terrain. Armé de sa transmission intégrale active associée au PTM (porsche Traction Management), de son Porsche 4D Chassis Control, de ses suspensions pneumatiques à trois chambres le tout stabilisé par le Porsche Dynamic Chassis Control (PDCC), ce Cayenne nouvelle génération est des plus véloces, aussi bien sur route que sur chemins escarpés.
Un design voulu « Plus Porsche, Plus Cayenne »
« Notre principal objectif était d’accentuer le caractère du véhicule. Plus Porsche, plus Cayenne. Le nouveau Cayenne est plus précis, élégant, sportif et expressif « , dit Michael Mauer, Directeur de Style chez Porsche AG, qui a dévoilé le style du nouveau Cayenne aux côtés de Peter Varga (Directeur Exterior Design) et Ivo van Hulten (Director Interior Design).
Nous l’avons déjà découvert il y a quelques jours. Le style du nouveau Cayenne est en effet plus massif, plus imposant, tout en gardant son empreinte Porsche. Sa face avant plus proéminente et ses prises d’air élargies lui donnent ce caractère massif et sportif que l’on retrouve dans les autres modèles de SUV du groupe VAG, tout en gardant son look de Porsche très prononcé.
L’arrière a repris sans surprise, mais pas sans réussite, le bandeau LED lumineux 3D déjà très apprécié sur la nouvelle Panamera. À l’arrière, nous retrouvons également ce design qui se veut plus massif, mais également plus sportif, car plus racé dans ses courbes.
Au niveau de l’éclairage, ce Porsche Cayenne de 3ème génération sera disponible, en option, avec les systèmes d’éclairage PDLS et PDLS Plus. Ces systèmes adaptent leur intensité lumineuse à l’aide de 84 diodes électroluminescentes activées individuellement.
Ce système empêche ainsi l’éblouissement des véhicules venant en face. Un gain évident en terme de sécurité pour soi comme pour ceux que vous croiserez.
Côté coffre, celui-ci a tout de même gagné 100 litres pour passer à un volume de 770 litres. Toujours côté dimension, notons que ce nouveau Cayenne a gagné tout de même 6,3 cm en longueur.
Un Cayenne au châssis allégé fait d’un alliage d’acier et d’aluminium
Concernant l’allègement il est également en soit une prouesse puisque ce Cayenne nouvelle génération dispose de roues de diamètre plus élevé et de nouveaux/nombreux équipement supplémentaires (PDLS, ParkAssist avant et arrière, un module téléphonique LTE comprenant un hotspot WiFi, des services Porsche Connect et une protection anticipée pour les piétons).
Pour cela, Porsche a utilisé un alliage d’acier et d’aluminium pour la grande majorité du châssis. La partie extérieure est entièrement composée d’aluminium. Une autre grande innovation de ce Cayenne est la batterie en polymère au lithium-ion associé au démarreur. Celle-ci permet un gain à elle seule de 10kg par rapport au modèle précédent.
PSCB : le nouveau système de freinage de porsche
Vous l’aurez compris, ce nouveau Cayenne est un condensé d’innovation aussi bien en termes de technique que de choix techniques. Le système de freinage n’y a pas coupé.
Celui-ci dispose d’un système de freinage unique au monde : le PSCB pour Porsche Surface Coated Brake.
Ce nouveau système de freinage dispose d’une surface innovante en carbure de tungstène.
Celle-ci va augmenter la friction lors du freinage et lui conférer de meilleures performances.
Ce système sera uniquement disponible en option et associé aux jantes de 21 pouces. Ils seront reconnaissables par des étriers blanc brillant du plus bel effet.
Nouveau Pack Sport Chrono avec PSM Sport
Pour lui conférer un caractère encore plus sportif, Porsche a revu le Pack Sport Chrono pour le rendre encore plus sportif.
Désormais disponible sur le volant, le conducteur pourra plus aisément et surtout plus rapidement placer le sélecteur en mode normal, Sport ou Sport Plus.
Une fois le mode Sport ou Sport Plus sélectionné, l’ensemble des paramètres du moteur et de la transmission sont réétalonnés pour disposer de performances maximales. Ce nouveau Pack Sport Chrono comprend également un mode PSM Sport distinct, qui permettra au conducteur d’enclencher ou pas le PSM Sport, afin de disposer ou pas d’un meilleur confort.
Un détail non négligeable en mode de conduite routier pour ne pas perdre trop en confort.
Innovation et connectivité : PAC (Porsche Advanced Cockpit) et nouveau PCM
Comme nous avons pu nous en apercevoir les derniers mois, Porsche a mis l’innovation et la conductivité dans ses priorités.
Ce nouveau Cayenne en est clairement bénéficiaire comme la dernière génération de Panamera.
Du projet à l’application, Porsche est devenu maître pour appliquer dans des délais records l’ensemble de ses innovations à ses véhicules de série.
Cette nouvelle génération de Porsche Cayenne met l’accent sur la relation entre le pilote (pardon, le conducteur) et sa monture. Pour cela, les ingénieurs ont mis en oeuvre le PCS pour Porsche Advanced Cockpit.
Au cœur de ce nouveau concept, nous retrouvons un écran tactile Full HD de 12,3 pouces associé à la dernière génération de Porsche Communication Management (PCM), lancé l’année précédente avec la nouvelle Panamera. Ce PCM peut se contrôler numériquement, mais également par la voix grâce à son contrôle vocal avancé. Le système Porsche Connect Plus permet d’accéder aux services en ligne de Porsche ainsi qu’à Internet.
Le conducteur dispose d’un tachymètre analogique central associé à deux écrans FullHD de 7 pouces affichant toutes les autres données du véhicule.
Sélectionné à l’aide du volant multifonction. Cette 3ème génération de Cayenne dispose également d’une caméra à vision nocturne, du Lane Change Assist, du Lane Keeping Assist, une assistance à la reconnaissance des panneaux de signalisation, l’assistance au trafic, le système ParkAssist ainsi que le système Innodrive mis en oeuvre pour la première fois sur la Porsche Pananmera.
Vous l’aurez compris, par ce Cayenne 2018, Porsche a décidé plus que jamais d’écrire son histoire en respectant l’Esprit Porsche, philosophie chère à son fondateur Ferdinand Porsche, en combinant la sportivité et l’innovation perpétuelle dans chacun de ses nouveaux modèles. Porsche est devenu plus que jamais une référence en termes de technicité et d’innovation technologique. La finalité attendue pour ce 3ème modèle de Cayenne… un SUV sportif, routier et tout-terrain à la fois !
Gageons à ce que ce pari soit réussi une fois au volant de ce magnifique SUV au look et aux entrailles de Porsche.
Esthétiquement, cette 908 marque sa parenté avec l’originale avec un arrière très long, qui rappelle les long tails qui ont couru au Mans à la fin des années 1960. Le design est assez musclé, avec une ligne de caisse haute, des ailes parfaitement dessinées et très fluides. L’aileron est directement intégré le long des ailes arrière, au dessus d’un copieux diffuseur.
