Le pare-brise en réalité augmentée bientôt chez Porsche ?

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Savez-vous quel est le point commun entre Hyundai et Porsche ? Oui, les deux entreprises construisent des voitures, mais mis à part cela, vous pensez que les deux constructeurs n’ont rien en commun ! Ils viennent pourtant d’investir dans une même entreprise : WayRay.

La future Porsche 911 RSR 2019 déjà en piste… et turbocompressée ?!

La compétition, c’est un domaine auquel Porsche est très attachée. Cette fois, la plus redoutable (et redoutée) des 911 de compétition est en train d’être mise au point. La 911 RSR cru 2019, est actuellement en cours d’élaboration. Pour rappel, ces versions survitaminées se destinent notamment au championnat WEC et donc à la célèbre course mancelle de 24 heures. Sauf que cette fois, Porsche pourrait succomber à la suralimentation

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La 911 RSR, un bel enjeu !

Lors des 24 Heures du Mans 2018, quatre catégories se disputent : LMP1, LMP2, GTEpro et GTEam. Ces deux dernières ont eu un point commun : la voiture arrivée en tête de ces deux catégories étaient des Porsche 911 RSR. Autant dire que Porsche mise beaucoup sur ces modèles pour tenir tête aux Corvette C7R, Ford GT et autres Ferrari 488 GTE Evo.

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Jusqu’en 2018, les 911 RSR, basées sur la 911 type 991, disposait d’une mécanique atmosphérique de 4 litres offrant 510 chevaux. L’enjeu, c’est de toujours coller au plus près des règles afin de proposer la voiture la plus performante possible. Mais au delà de cet aspect purement orienté sur la performance, il y a aussi une question d’image. Les 911 RSR doivent faire rêver le public qui, par transposition, pourrait être plus enclin à s’orienter chez Porsche s’il désire la performance.

La 911 type 992 RSR : un turbo ?

Pour la saison 2019, Porsche affichera la toute dernière 911 (991) version RSR. Un bon moyen de promouvoir la huitième génération de son modèle phare, qui sera présentée prochainement. Mais que pouvons-nous en attendre ?

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Au niveau du style, les photos prises sur le Laguna Seca (circuit en Californie) ne nous apprennent pas grand chose. Tout laisse à penser que la base demeurera basée sur l’actuelle 911 type 991. En revanche, sous le capot, les évolutions semblent bien perceptibles. Ceux qui l’ont entendue tourner font le rapprochement entre la sonorité de cette future 911 RSR et le bruit d’un aspirateur. Cela laisse penser que Porsche pourrait avoir eu recours à la suralimentation

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Le conduit d’échappement latéral pourrait confirmer cette hypothèse puisque les turbocompresseurs ont besoin de véhiculer un maximum d’air le plus vite possible, tout en pouvant se passer de silencieux, puisque la sonorité serait moins démonstrative. Porsche n’a plus beaucoup de temps pour peaufiner la 911 RSR 2019 puisque la présentation est prévue le 27 septembre, toujours à Laguna Seca !

Record de vitesse à vélo avec un Cayenne Turbo !

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L’européen le plus rapide sur un vélo se nomme Neil Campbell. Avec 240 km/h, il devient l’homme le plus rapide sur un engin à deux roues non-motorisé, grâce à la contribution d‘un Porsche Cayenne Turbo.

Rencontre avec la Team 85 Bourgoin Racing engagé en Porsche Carrera Cup France

En marge de la quatrième étape du championnat Carrera Cup France à Magny-Cours, nous sommes allés à la rencontre du Team 85 Bourgoin Racing. Après une reprise de la compétition en 2017 avec une seule Cup pilotée par Antoine Jung, l’équipe soutenue par les Centres Porsche d’Orléans, Tours, Arpajon et La Rochelle poursuit son aventure en 2018 avec pas moins de trois bolides. Un défi de taille pour la Team dont les moyens ne sont pas ceux des plus grandes écuries du plateau.

Ambition et réalisme

J’ai tout d’abord eu l’opportunité d’échanger avec Benoît Bourgoin, le Team Manager, concernant les objectifs de cet engagement plus important en 2018. Tout d’abord, la volonté première du Bourgoin Racing était de se positionner dans chacune des trois catégories du plateau Carrera Cup France : la catégorie-reine A, la catégorie B, et le classement Rookies, réservé aux nouveaux arrivants de la discipline. De cette volonté a découlé l’engagement de trois Cup, dont l’objectif individuel de base était de gagner, chacune dans sa propre catégorie. Bien sûr, Bourgoin reconnaît que « entre les ambitions et la réalité il y a deux mondes » et que les objectifs sont ajustés puis réajustés en permanence au cours de la saison.

C’est néanmoins un état d’esprit très présent au sein de toute l’équipe que ce fin mélange entre ambition et réalisme. Les moyens financiers du Team 85 n’étant pas aussi conséquents que d’autres structures, et ainsi les temps de roulage étant plus courts, Benoît Bourgoin insiste sur la nécessité de créer des synergies dans l’écurie. La tâche n’est d’après lui « pas si difficile » du fait d’avoir trois autos au lieu d’une ; finalement, « c’est comme si l’on avait qu’une seule voiture » sauf qu’évidemment l’on suit trois catégories distinctes sur deux tableaux en fin d’épreuve. D’un point de vue setup non plus, ce n’est d’après lui pas plus difficile qu’auparavant : les réglages de base de chaque auto sont « proches de par le pilote de référence », autrement dit celui qui établit le meilleur temps de roulage aux premiers tours de roues. « Et ensuite, on les adapte au besoin des pilotes » de manière individuelle, afin que chacun des trois drivers soit à son meilleur niveau. En bref, chez Bourgoin Racing on se fixe un bel objectif, on mutualise les forces et on tire le maximum de chaque seconde de roulage afin de réaliser les meilleurs résultats.

Un nouveau line-up pour nourrir les ambitions

Qui dit trois voitures, dit bien sûr trois pilotes. Et trois nouveaux pilotes même, Antoine Jung ayant déployé ses ailes vers le Blancpain sur Audi. Le pilote A choisi aura été Jean-Baptiste Simmenauer (N°23), en partie grâce aux liens que son père a entretenu avec les Bourgoin lors de leurs précédents engagements en compétition. L’histoire de famille se poursuit pour la sélection du pilote en catégorie B en la personne de Sébastien Dumez (N°7). En effet, cet homme d’expérience déjà multiple vainqueur en Porsche Carrera Cup dans les années 2000, se retrouve ciblé grâce à Bernard Simmenauer, qui lui avait déjà mis le pied à l’étrier dans cette discipline il y a quasiment 20 ans ; de plus, c’était déjà avec la famille Bourgoin que Sébastien a commencé à courir. « Avec Benoît c’était parfait, c’était l’histoire qui se répète », nous confie-t-il avec un large sourire. Enfin, Jérémie Lesoudier (N°67) assure le rôle du rookie du Team 85 cette année, après avoir évolué en Clio Cup espagnole et portugaise. C’est grâce à la Scholarship Porsche Cup et à ses liens avec Jean-Baptiste que le contact s’est fait pour intégrer l’équipe. Finalement, la Team 85 Bourgoin Racing, c’est une grande famille de passionnés, rassemblés autour de valeurs communes.

Jérémie Lesoudier : franchir un step avec la Cup

L’échange que j’ai eu avec Jérémie fut largement ponctué par deux notions : sa satisfaction à évoluer dans une discipline qui se professionnalise et qui professionnalise ses acteurs, et l’équipe avec ses valeurs et ses ambitions. En effet, cette évolution pour Jérémie était l’occasion de monter en compétences : pour lui, il est « intéressant de passer un step par la Porsche qui est une formule monotype très pro ». « Apprendre des meilleurs » sera l’opportunité de développer son professionnalisme et son feedback, afin de se projeter vers l’avenir en GT. Jérémie partage l’esprit d’équipe du Team 85 : « ils sont très présents, ce sont de vrais passionnés » ; « on (lui et son père, qui accompagne sa carrière) s’est vite sentis proches des valeurs de l’équipe ». Le challenge des moyens restreints est très bien intégré, sa mentalité étant de « faire le mieux avec ce que l’on a, en étant les plus malins possible dans l’organisation ». Une approche formatrice dans un environnement exigeant !

Le passage dans la 911 Cup n’a d’ailleurs pas été une formalité pour Jérémie : « Tout a été compliqué. Limite, le moins compliqué a été la puissance » mais en effet, le survirage induit par la propulsion et l’architecture moteur de la Porsche lui a nécessité un temps d’adaptation. Désormais, le jeune pilote Bourgoin Racing semble en confiance. A Magny-Cours, il termine 16ème en course 1 suite à une erreur et P12 en course 2. Il attend ensuite beaucoup du meeting de Barcelone tant il en connaît et apprécie la piste. Il espère « aller se battre à la régulière avec des Victor Blugeon (N°74, Pierre Martinet by Alméras), ou Alex Marchois (N°14, FAL Racing) ». L’objectif final de Jérémie est de jouer un podium d’ici la fin de la saison, mais il sait que la concurrence est rude ; s’il rempile en 2018, ce sera clairement sa ligne de mire en catégorie A.

Sébastien Dumez : l’expérience pour la gagne en catégorie B

Après presque 10 ans sans sport auto, Sébastien Dumez revient victorieusement en 2015 en remportant le titre de Champion de France FFSA GT en 911 GT3 R. Puis, il prend le volant d’une Cayman GT4 en 2017 et rallie la Porsche Carrera Cup cette année avec la Team 85 Bourgoin Racing. A noter que Sébastien a également rouler en LMP3 en 2016 (source : Nicolas MISSLIN 😉 ! ). Son état d’esprit : « l’envie de bien faire ! ». La régularité de Sébastien et sa progression expliquent qu’il est clairement en lice pour gagner la catégorie B des Gentlemen Drivers. C’est d’ailleurs son objectif, même s’il garde une grande humilité. Il se méfie notamment de son adversaire direct Nicolas Misslin (N°55, Pierre Martinet by Alméras), qu’il juge rapide et qui selon lui « a beaucoup progressé ». « Il met beaucoup de cœur et beaucoup de volonté » à gagner des courses et lutter pour le championnat. Ce meeting de Magny-Cours l’a bien prouvé avec une belle deuxième place en course 1 pour Sébastien Dumez, après une héroïque remontée, et une revanche de Nicolas Misslin en course 2.

En échangeant avec Sébastien, on ressent tout de suite le plaisir de rouler, de toujours apprendre au volant, et de relever ce défi qu’il décrit comme pas facile. « Nous, on a un budget hyper serré, on fait attention à tout, il faut être intelligent et malin » ; « A chaque fois que je remonte dans une voiture, je progresse », nous confie Sébastien en ajoutant que « quoi que tu fasses dans la vie, tu as toujours à apprendre ». Une excellente philosophie qui s’accompagne de valeurs et d’une expérience qu’il souhaite partager avec ses deux jeunes coéquipiers : « j’essaie de transmettre tout mon savoir », nous dit Dumez, reconnaissant toutefois que Jean-Baptiste malgré son jeune âge, dispose déjà d’un beau bagage. Dans ses bonnes pratiques, il appuie volontiers sur sa grande préparation avant chaque meeting. Une étape obligatoire pour lui au vu des maigres roulages du Team, et au vu l’ « hyper professionnalisation » de la discipline. Un « fait majeur » selon lui, qui peut comparer avec la Porsche Carrera Cup des années 2000 qui était bien plus centrée sur les Gentlemen Drivers. La discipline a pris de l’ampleur, tout comme le système de détection de Porsche, ce qui permet comme le confirme Dumez « une réelle perspective d’avenir » au sein du constructeur pour les jeunes, comme Jérémie et Jean-Baptiste.

Jean-Baptiste Simmenauer, en route vers le succès

Pour en effectuer la transition avec le propos précédent, la filière Porsche (notamment en GT) est clairement l’objectif identifié pour Jean-Baptiste, et partagé par son actuel Team manager. C’est pourquoi il a choisi après son expérience karting et monoplace, de s’orienter dans cette discipline, où il court en France et en Allemagne. La discipline, très formatrice, lui a d’ailleurs demandé dès les premiers tours une adaptation spécifique, tout comme à Jérémie. Ce fut « compliqué au début, surtout au niveau du poids et de l’aéro ». Evidemment, il nous explique que la prise de virage est radicalement différente d’une monoplace où la charge induit l’appui, à une GT3 Cup où le transfert des masses joue d’avantage un rôle. Après quelques frayeurs et un apprentissage rapide, Jean-Baptiste confie désormais : « je m’amuse beaucoup avec ces voitures ». Sa courbe de progression est d’ailleurs notoire. « Je me sens de mieux en mieux, j’apprends beaucoup » exprime le jeune pilote originaire de Chambray-les-Tours. Discret et humble, il ne se cache toutefois pas de viser le podium au général, un objectif entièrement partagé par Benoît Bourgoin, satisfait de la montée en rythme de son poulain. Hélas, le meeting de Magny-Cours n’a pas spécialement souri au jeune Simmenauer, qui termine 8ème en course 1 et abandonnera en course 2. Une déception qui ne l’empêchera pas de donner le meilleur de lui-même dès le prochain rendez-vous, à Barcelone.

Bonne continuation au championnat !

Pour conclure, j’emprunterai les mots de Jérémie Lesoudier qui tenta vaillamment de me décrire ses sensations au volant sur le mythique circuit de Magny-Cours : « Magny-Cours dans une Cup, …quelqu’un qui va te dire que c’est pas bien, c’est qu’il n’aime pas le sport auto ! ». Un grand bravo en tout cas à cette belle équipe du Team 85 Bourgoin Racing, qui se montre un dangereux outsider en A et un fier prétendant au titre en B avec les moyens dont ils disposent.

Le Porsche Cayenne, l’hybride rechargeable le plus vendu en France

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Le Porsche Cayenne, dont la troisième génération vient de débuter sa carrière commercial, est un véritable best-seller des ventes. Le SUV de Porsche séduit toujours, et sa version hybride rechargeable occupe la première place des ventes du segment.

Un prototype de Porsche Taycan aperçu… avec 4 sorties d’échappement !

En juin dernier, nous apprenions que la Mission E s’appellera en réalité Porsche Taycan. Il s’agirait d’une berline entièrement électrique, plus compacte que la Panamera avec pour objectif de concurrencer férocement la Tesla Model S. Un prototype de Taycan a été aperçu par nos confrères de Gocar.

Le look de la Porsche Taycan

Avec son style futuriste, le concept car Mission E semblait bien éloigné d’une voiture de série. La firme de Stuttgart s’est alors davantage rapprochée d’une voiture « classique » en présentant la Mission E Cross Turismo, un concept-car se présentant sous la forme d’un break dérivé de la berline. Annoncée pour 2020, la Taycan se présentera d’abord sous une carrosserie de berline, comme en témoigne le prototype aperçu et immortalisé.

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Sous un look volontairement rapproché de celui de la Panamera – faux phares à l’appui – nous découvrons une ligne parfaitement sculptée, avec des hanches larges, un capot nervuré comme il se doit, des pare-chocs avant et arrière assez dynamiques et une ligne de caisse assez élancée, qui n’est pas sans rappeler le très-à-la-mode concept des « coupés 4 portes« . Plus ramassée qu’une Panamera, la Taycan évoluera pourtant dans une catégorie bien spécifique : celle des berlines électriques de luxe. Ennemi principal : Tesla Model S.

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Sur ce prototype, nous découvrons également des jantes, ici exclusivement noires et pleines. Leur fonction principale n’est pas d’ordre esthétique : elles permettent d’améliorer l’aérodynamique et limitent les frictions d’air. Autre élément remarquable, des capteurs au niveau du pare-choc avant, qui pourraient laisser penser qu’il s’agit d’une caméra avant… Ou bien d’un système de conduite autonome ? À quel niveau ? Difficile à prédire pour le moment car il pourrait très bien s’agir d’un classique régulateur ACC.

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Autre élément intéressant, les poignées de porte semblent ne pas dépasser de la carrosserie. Cela peut être interprété comme étant un système de poignées rétractables, comme le propose Tesla sur la modèle S. Cette technologie tend à se répandre et a l’avantage d’épurer la ligne.

4 sorties d’échappement ?!

Porsche ne voulait pas que l’on identifie trop rapidement la Taycan. Pour brouiller les pistes, différents appendices esthétiques empruntés à la Panamera ont été disposés : faux phares avant, fausses sorties d’air sur les ailes avant et une quadruple sortie d’échappement, qui n’aurait guère d’intérêt sur une voiture 100% électrique.

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Pour rappel, la Taycan sera proposée avec trois niveaux de puissance, distillés par deux moteurs, placés chaque sur un essieu. Les rumeurs évoquent des Taycan de 400, 500 ou 600 chevaux. Ce dernier moteur pourrait rivaliser avec la redoutable Tesla Model S P100D.

La Porsche 911 (992) à l’assaut du Nürburgring… Sans camouflage !

Peu à peu, la Porsche 911 type 992 livre ses secrets. Les rumeurs évoquent une présentation à l’occasion du prochain Mondial de l’Auto de Paris, courant octobre. Rien d’impossible puisque les séquences qui suivent nous montrent que la huitième génération de 911 est fin prête. AutoEvolution est parvenue à immortaliser des exemplaires de présérie en train de se dégourdir les cylindres sur le Nürburgring… Sans camouflage !

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Les faits marquants

En regardant ces quelques séquences, on ne peut qu’apprécier les belles lignes de cette nouvelle génération de Porsche 911, qui semble rivée au sol. Le comportement semble plutôt dynamique, avec un train arrière assez joueur qui devrait ravir les amateurs de propulsion. La sonorité demeure travaillée et plutôt agréable à l’oreille, même si les amoureux du moteur atmosphérique regretteront les montées en régime des « vieux » Flat-6.

L’aileron arrière déployable, qui occupe désormais presque toute la largeur de l’auto, se déploie à haute vitesse mais semble également ajouter de l’appui lors des forts freinages. Notons que la partie diffuseur est également bien plus imposante qu’auparavant, ce qui donne un côté encore plus sportif à cette 911 type 992. Notons que cet exemplaire Orange Fusion est équipé des étriers de frein jaune, ce qui laisse penser qu’il s’agit de disques en carbone céramique.

De nombreuses sorties au Nürburgring…

Si vous suivez activement nos articles, vous vous êtes peut-être dit « encore ? » en lisant le titre de mon article. Et je vous comprends ! En effet, Porsche a multiplié les sorties sur le Nürburgring. C’est d’ailleurs grâce à ces sorties qu’autant de photos ont pu être réalisées des modèles de présérie, se dénudant peu à peu.

Pourquoi un tel intérêt pour l’Enfer Vert (surnom du Nürburgring, ndlr) ? Tout simplement parce que les constructeurs de sportives ont fait de ce circuit un moyen de prouver l’équilibre et les performances de leurs productions. Ainsi, la Porsche 911 (991) GT2 RS est parvenue à réalisé le meilleur chrono… Avant d’être détrônée par la Lamborghini Aventador SVJ en juillet dernier.

Porsche a donc tout intérêt à optimiser au maximum la nouvelle 911 afin que les versions les plus aboutées soient en mesure d’améliorer le record précédent… Tout en montrant aux autres constructeurs (Lamborghini en tête) qui est le plus fort. Pas simple la loi de la Jungle !

10 voitures de série les plus rapides sur le Nürburgring

  1. Lamborghini Aventador SVJ – 6 min 44 sec 97
  2. Porsche 911 (991) GT2 RS – 6 min 47 sec 25
  3. Radical SR8LM – 6 min 48 sec 00
  4. Lamborghini Huracan Performante – 6 min 52 sec 00
  5. Radical SR8 – 6 min 55 sec 00
  6. Porsche 911 (991) GT3 RS – 6 min 56 sec 40
  7. Porsche 918 Spyder – 6 min 57 sec 00
  8. Lamborghini Aventador SV – 6 min 59 sec 73
  9. Nissan GT-R Nismo – 7 min 08 sec 68
  10. Mercedes AMG GT-R – 7 min 10 sec 92

Une Porsche 9FF 997 à plus de 350 km/h ?

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Une Porsche 9FF de 1 500 ch va tenter, ce week-end, de battre le record de vitesse détenu sur la piste de Lahr, à 359 km/h.

Le « Rolling 50 1000 » de Lahr

Dans la vallée du Rhin, la ville de Lahr dispose d’un aérodrome, avec une piste d’atterrissage qui se transforme très souvent en terrain de jeu idéal pour les voitures de course. C’est notamment le cas grâce à SCC 500, qui y organise des compétitions de « drag race ». L’objectif ? Atteindre la plus haute vitesse possible après un départ lancé à 50 km/h, et une distance de 1 000 m.

Ce dimanche 16 septembre, pour la finale du “Rolling50 1000″ Deutsche Meisterschaft 2018, c’est une Porsche 9FF qui fait figure de favorite. L’objectif est de faire tomber la vitesse maximale mesurée de 359 km/h.

La 9FF, une Porsche de 1 500 ch

La compétition sur la piste de Lahr regroupe cinq catégories. Les voitures élancent, par deux, pour un face à face. La plus rapide se qualifie, et ainsi de suite.

Cinq catégories existent, par puissance, jusqu’à 1 000 ch. Il existe enfin une catégorie « préparateurs », pour les voitures qui dépassent le millier de chevaux. C’est précisément dans cette classe que la 9FF entend briller.

Il s’agit d’une 997 Turbo 9FF (Paul Cars) dont l’accélération est, il faut l’avouer, grisante. Déjà, sa vitesse de pointe a été mesurée à plus de 350 km/h (en juillet dernier, sur cette piste de Lahr). Désormais, l’objectif est de passer encore une étape au-dessus…

Cet événement fait partie d’une série de courses de vitesse organisées par SCC 500. L’objectif est d’offrir un cadre sécurisé, et de lutter contre les courses sur route illégales. « Les courses ne doivent pas se faire dans le trafic mais sur un circuit » confient les organisateurs.

Les détails sur le site de l’organisateur et sur la page Facebook dédiée.

70 ans de Porsche à Mulhouse : une véritable réussite pour le plaisir de tous

Ce dimanche 9 septembre, tous les porschistes du Grand-Est s’étaient donnés rendez-vous à Mulhouse pour fêter les 70 ans de leur marque favorite. Une belle journée ensoleillée, réussie, parfaitement organisée et placée sous le signe du partage et de la convivialité.

Un magnifique plateau de Porsche de toutes générations

Les amateurs de belles Porsche, qu’elles soient modernes ou anciennes, ont été gâté pour l’occasion. Les organisateurs avaient réunis un magnifique plateau regroupant les différentes générations / modèles de la gamme Porsche. Tous étaient réunis pour le plaisir des petits et de grands porschistes : des Classics, des modernes, des Porsche à moteur avant, à moteur central, des cabriolet et Speedster, des Targa, des Turbos, et bien évidemment des Cup.

Même le tracteur P111 était de la partie et a tracté une calèche où le public pouvait prendre place pour réaliser des tours de piste.

Cette journée était organisée par le Musée de l’Auto de Mulhouse, le Porsche Club Alsace et le Centre Porsche Mulhouse, avec pour dénominateur commun : la passion de l’automobile !

Le plaisir de rouler en Porsche… pour tous !

Le public avait de quoi être ravi. Petits et grands, passionnés et simple curieux ont pu faire plusieurs tours dans des modèles différents. Une façon de partager sa passion avec le plus grand nombre. Peu de manifestations de ce type donnent l’occasion à tous de découvrir les sensations de rouler dans une Porsche.

Des animations pour tous les passionnés

Toujours au niveau des animations, les auteurs de bande dessinée, Johannes Roussel, Michel Janvier et Olivier Marin, ont dédicacé et réalisés des illustrations personnalisées aux personnes qui leur ont acheté un exemplaire de leurs BD.

Une exposition de modèles réduits était également installée à l’intérieur du musée, regroupant à une même échelle une majorité des modèles de la marque triée par catégories, celle-ci comportait des modèles uniques.

La manifestation s’est terminée par une grande parade rassemblant toutes les catégories de Porsche ainsi que par un « concert » de chants de moteur catégorie par catégorie. Un vrai régal pour les tympans avertis !

Les visiteurs du musée avaient l’occasion de visiter le musée qui abrite l’exposition éphémère de Régis Mathieu et d’accéder gratuitement à la manifestation « 70 ans de Porsche à Mulhouse ». Les visiteurs ne voulant accéder qu’à la manifestation se déroulant sur l’autodrome ont payé 5€. Un moindre coût pour avoir le plaisir de découvrir la conduite en Porsche et le plaisir d’admirer tous ces beaux châssis.

Le tracé de l’autodrome formant un « 8 » a permis d’apprécier le comportement des véhicules en courbes, en ligne droite et même des enchaînements de courbes gauche-droite.

Une journée vivante et enrichissante ou l’ensemble des spectateurs ont pu découvrir pour certains, les raisons de notre passion pour la marque PORSCHE.

Porsche vainqueur des 24 Heures de Barcelone 2018

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Encore un succès pour Porsche ! La Porsche 911 GT3 R de l’équipe Herberth Motorsport n°911 avec Daniel Allemann, Ralf Bohn, Matt Campbell et Alfred Renauer s’est imposée aux 24 Heures de Barcelone.