Que vous coûterait un crash en Porsche sur le Nürburgring ?

Thomas
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Que vous coûterait un crash en Porsche sur le Nürburgring ?

Poser les roues de sa Porsche sur le circuit du Nürburgring n’est pas un rêve inaccessible, il ne vous en coûtera que 27 € pour avaler les 20 kilomètres et 154 virages de l’Enfer Vert. Mais en cas de crash, la note risque de s’alourdir… considérablement… Voici ce que vous devriez débourser si par malheur, vous perdiez le contrôle de votre belle…

Quelques généralités

À tort, certains pensent que tout est permis sur piste, ce qui n’est pas le cas. Le code de la route allemand s’y applique et il y a même des limitations de vitesse à observer sur certaines sections particulièrement accidentogènes. Il faut également suivre les indications des commissaires de course. Cependant, cela ne suffit pas toujours à éviter : une flaque d’huile, un virage pris d’une manière un peu trop optimiste, un ralentissement brutal, et l’accident peut survenir. Surtout que toutes les catégories de voitures peuvent s’y côtoyer, allant de l’utilitaire de 5 tonnes à la Bugatti Veyron !

Maintenant, imaginons que malgré toute votre vigilance, l’accident est inévitable. Voici que vous devrez verser. Mieux vaut être assis avant de poursuivre la lecture !

Le coût réel d’un accident

Porsche 964 accident

La réparation des glissières

Premier poste de dépense, il y aura la réparation des glissières. Tout débute avec le déplacement du camion concerné (Armco), avec un forfait de base à 150 €.

À cela, s’ajoute le retrait des glissières endommagées. Il vous en coûtera 10 € par mètre à retirer mais également par niveau. Ainsi, pour une gouttière à quatre hauteurs, il vous en coûtera 40 € du mètre. Aie !

Ajoutons à cela la mise en place de nouvelles glissières. Là encore, le prix au mètre est de 31 €. Il est à multiplier par le nombre de niveau de la glissière (jusqu’à quatre) et par la longueur à remplacer. Si un poteau est à remplacer, il vous en coûtera 5,10 € par retrait et 39 € pour la pose d’un nouveau.

Le dépannage

Ensuite, votre véhicule devra être dépanné. Une voiture de sécurité sera de la partie, avec un coût de 82 € la demi-heure. Puis, c’est le camion de dépannage, avec un forfait unique à 600 € HT, qui viendra retirer votre Porsche de la zone incriminée.

Si le circuit doit être fermé pendant cette opération, prévoyez la vente d’un rein : il vous en coûtera 1 350 € par heure de bouclage.

L’assurance

Les frais ne s’arrêtent malheureusement pas là. Votre assureur vous sanctionnera d’un malus mais également d’une franchise. Dès lors, la note finale grimpe vite. Très vite.

Un exemple pratique

Porsche Boxster Accident

Prenons l’exemple de ce Porsche Boxster 986 en fâcheuse posture.

Admettons qu’il chasse de l’arrière puis tape la glissière de sécurité (à trois niveaux) sur 6 mètres. Un poteau est endommagé dans l’accident… Voici le devis qui sera présenté au conducteur…

Camion de remplacement des glissières : 150 €
Retrait des glissières endommagées : 10 € x 6 x 3, soit 180 €
Glissières de remplacement : 31 € x 6 x 3, soit 558 €
Retrait et remplacement du poteau : 5,10 € + 39 €, soit 44,10 €
Voiture de sécurité (30 minutes) : 82 €
Camion de dépannage : 600 €
Franchise d’assurance (prix moyen) : 300 €

Hors malus de l’assureur, ce banal accident coûtera au propriétaire de ce Boxster, 1 914 €. Il existe heureusement des assurances circuit, qui peuvent s’avérer utiles et réduire considérablement les dépenses, surtout si vous ne maîtrisez pas parfaitement encore, la conduite sur circuit !

Notre partenaire, Sarrut Assurance, spécialiste dans l’assurance des Porsche et des Véhicules Haut de Gamme, vous propose une assurance circuit incluse, sans surcoût !

Porsche 991 GT2 RS : revue de détails

Thomas
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Porsche 991 GT2 RS : revue de détails

Nous imaginions la nouvelle 911 GT2 RS bestiale, elle l’est. Ceux qui trouvaient la 991 GT3 RS un peu trop affirmée vont certainement rester bouche bée face à la plus puissante de toutes les 911 de série jamais produites. Dans cet article, nous vous proposons de faire le tour de la belle, à la pêche aux informations pratiques, pour admirer son design, aborder le Weissach Pack mais aussi les différentes combinaisons colorées proposées. Si vous souhaitez davantage de détails, consultez la fiche technique de cette nouvelle Porsche 911 GT2 RS (991).

Esthétiquement réussie

Créer une nouvelle Porsche 911 doit être un exercice périlleux. Mais créer la plus incroyable de toutes les 911 est d’autant plus difficile. Face à elle, toute autre 911 paraît presque fade. C’est certain, la 911 GT2 RS intègre tout ce que l’on peut attendre d’une authentique voiture de course.

Porsche 911 GT2 RS

Admirez cet avant surmonté d’une épaisse lame, ces immenses aérations nécessaires pour maintenant les freins à bonne température, ce capot en carbone intégrant une partie colorée, telle une bande de course. En y regardant de plus près, on peut très bien l’imaginer avec des stickers et un numéro, pour aller sur piste…

À l’arrière, un aileron très massif prend place, pour accentuer l’appui aérodynamique à haute vitesse. Sur les côtés, les ailes avant comme arrière accueillent des aérations intégralement constituées de fibre de carbone.

Du carbone, on trouve également sur les coques de rétroviseurs, pour accentuer le côté agressif. On se plait à admirer la belle sous tous ses angles et on se pose alors une question : Mais quels coloris ont été prévus pour la belle ? Une couleur exclusive est-elle au programme ?

Configuration à la carte

991 GT2 RS

Choix de couleurs

Contrairement à ce que l’on aurait pu imaginer, Porsche n’a pas prévu de coloris spécifique pour sa nouvelle 911 GT2 RS. On retrouve donc les traditionnels noir, blanc, rouge et jaune opaques, auxquels s’ajoutent quatre tons métallisés : deux gris, l’orange Fusion et le bleu Miami. En passant par le département Exclusive, tout autre coloris peut néanmoins être appliqué.

Porsche 911 GT2 RS

Un intérieur rouge

C’est un choix audacieux, Porsche a présenté au grand public un exemplaire avec un intérieur parsemé de touches de rouge. Au programme, des baquets mêlant cuir, carbone et surpiqure, de la moquette rouge et un volant en bitons du plus bel effet. Sur les appuie-têtes, est brodé « Weissach Pack » si le modèle est allégé. Enfin, la GT2 RS est une stricte deux-places, c’est un arceau à l’arrière. Pour l’ambiance piste, c’est parfait, mais pas nécessairement au goût de tout le monde. Alors une ambiance gris/noir est aussi possible. À vous de voir… Quoi que non, les 1 000 exemplaires ont déjà tous été réservés !

Porsche 911 GT2 RS

Le Weissach Pack

Si nous vous parlons de la 918 Spyder, vous avez certainement les termes Weissach Pack en tête. Bonne nouvelle, la nouvelle 911 GT2 RS peut également recevoir cet équipement. Mais que comprend-t-il ? Tout d’abord, un capot recouvert de carbone avec une bande de couleur. Le toit passe lui aussi en carbone. Sur l’aileron, un sticker géant Porsche s’invite… Très très élégant ! Du carbone est utilisé à profusion pour perdre 30 kg sur la balance au total. Effet garanti… Mais il faudra débourser près de 30 000 €, cela fait cher le prix au kilo.

Et niveau performances ?

991 GT2 RS

700 pur-sangs

Sous le capot de la 911 GT2 RS, le Flat-6 de 3.8 litres de cylindrée grimpe à 700 chevaux et 750 Nm de couple. C’est bien simple : jamais le Flat-6 n’avait poussé aussi loin dans ses retranchements. Forcément, deux turbocompresseurs sont de la partie. Ils sont d’un diamètre plus imposant que la Turbo S afin d’envoyer plus d’air compressé, et permettre des accélérations toujours plus franches. Le 0 à 100 km/h est donné pour 2,8 secondes et la vitesse de pointe culmine à 340 km/h.

Un arbitre nommée Nürburgring

Rarement plumage et ramage n’ont été aussi bien mariés. La 911 GT3 a déjà brillé sur le tracé allemand du Nürburgring, malgré « seulement » 550 chevaux. Avec 150 canassons supplémentaires et un châssis tout aussi radical, la GT2 RS ne peut faire que mieux. Et si elle devenait la référence en terme de supercar ? La belle y a déjà été aperçue mais aucun temps n’a encore été communiqué.

Tout ce qu’il faut !

Roues arrière directrices, suspension dynamique du moteur, boîte PDK, PTV, PSM, PASM… Nombreux dispositifs ont pris place sur cette avaleuse de bitume, dans le but d’offrir des performances toujours plus démoniaques. Selon nous, il ne lui manque qu’une boîte manuelle au choix…

Et si c’était la 911 parfaite ?

Montre GT2 RS

Chez 911andco, on peut parler de coup de cœur. La 991 GT2 RS illustre parfaitement ce que nous en attendions. Elle place la barre très haut. Tout en étant une bête de piste, elle est capable d’offrir un système audio de haute qualité et un écran tactile, des éléments de « confort » assez rare dans ce type de véhicule. Toujours est-il que son look ravageur a su attirer un public en quête de sensations fortes, prêt à signer un chèque d’au moins 290 000 € et capable de maîtriser une stricte propulsion de 700 chevaux.

Pour ce prix-là, chaque propriétaire a droit à une montre exclusive, résolument haut de gamme et numérotées. La grande classe.

Topcar dévoile une Panamera plus musclée que jamais

Thomas
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Topcar dévoile une Panamera plus musclée que jamais

Le préparateur russe Topcar vient de s’atteler à donner encore plus de caractère à la dernière Porsche Panamera (type 971). Cette dernière s’appelle de nouveau Stingray, soit raie en français. Au programme de cette Stingray GTR Edition : du bodybuiling, du carbone et un rendement moteur très honorable…

Une longue lignée de Stingray

Topcar s’est spécialisée dans la préparation de modèles Porsche. La 911 n’est pas en reste, mais la Panamera y occupe une place toute particulière. Chaque préparation depuis cette base se nomme ainsi Stingray, avec parfois un sigle supplémentaire, comme GTR, pour identifier les versions les plus radicales.

Dès 2011, ce préparateur russe s’attèle à donner à la routière allemande, un style unique, très agressif, à renfort d’immenses pare-chocs ajourés, de grandes jantes alliages, de diffuseur de voiture de course et d’intérieurs cossus. La recette marche et les Panamera Stingray vont se succéder jusqu’à la fin de carrière de la première génération (970) courant 2016.

La seconde génération de Panamera est l’occasion de repartir d’une feuille blanche.

Du muscle !

Un style très agressif

La Panamera Stingray GTR Edition de Topcar s’affiche dans une livrée blanche. Elle reçoit alors des pare-chocs inspirés de la version originale, mais au design bien plus agressif. Les touches de carbone sont omniprésentes. Il est même possible de disposer d’un capot intégralement composé de fibre de carbone, pour un look encore plus ravageur.

Fait particulier, le profil a fait l’objet d’un travail colossal. Une aération massive prend place sur les portes arrière. La poignée est alors sagement dissimulée à la manière d’une Tesla Model S. À l’avant, le sigle Topcar s’implante sur les ailes, sur un cache en carbone, lui aussi !

À l’arrière, nous y découvrons un pare-choc relativement épuré, avec deux aérations sur les côtés, un diffuseur cerné par une double sortie d’échappement de chaque côté. Un aileron en carbone (toujours !) vient habiller la malle.

Panamera Stingray GTR Edition

Deux styles

Chaque futur acquéreur d’une Panamera Stingray GTR Edition pourra choisir entre deux modèles de jantes et la présence, ou non, d’un capot carbone. Les deux choix de jantes, justement, sont directement inspirés du monde de la compétition avec un modèle inspiré des célèbres jantes BBS, vues et revues dans le domaine de la compétition automobile. Le second modèle est davantage orienté tuning, et s’inscrit purement dans le style Topcar : grand diamètre, cinq branches fines qui permettent d’admirer les immenses disques de freins pincés par des étriers jaune vif.

Dans un cas comme dans l’autre, le style mêle luxe et sportivité, un mariage pas toujours simple à réaliser, mais effectué avec brio.

Panamera Stingray GTR Edition

Un intérieur à la carte

La Topcar Stingray GTR Edition ne propose pas de modification dans l’habitacle, à moins de faire une demande spécifique. Dans ce cas de figure, tout est permis car le préparateur est habitué à opérer sur tout type de matériau : cuir fin ou de crocodile, fibre de carbone, or 24 carats et tout type de bois précieux. Tout est possible.

Panamera Stingray GTR Edition

Combien coûte-t-elle ?

Impossible de parler d’une préparation sans aborder des thématiques un peu moins réjouissantes mais tout aussi indispensable : combien coûte une telle préparation.

Pour disposer de votre propre Panamera Stingray GTR Edition, vous devrez tout d’abord disposer d’une Panamera 971 (le modèle actuellement produit par Porsche, depuis 2016) et vous acquitter de 24 556 €, ce qui correspond au prix de base du kit carrosserie. Si vous souhaitez un intérieur spécifique ou même une préparation moteur, il faudra y ajouter un billet supplémentaire.

Topcar propose en effet une préparation allant jusqu’à 650 chevaux pour la version Turbo de la Panamera, soit un gain net de 100 chevaux.

Les 911 GT2 RS toutes réservées… avant même la présentation !

Thomas
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Les 911 GT2 RS toutes réservées… avant même la présentation !

Si la cote des Porsche 911 augmente assez fortement depuis quelques années, l’explication est due à plusieurs facteurs : le passage au refroidissement liquide en 1997, l’abandon du moteur atmosphérique pour les Carrera en 2016 et plus simplement : les séries limitées… Dans cet article, nous passerons en revue ces 911 à tirage très limité, qui font le bonheur… des spéculateurs !

Plaisir ou investissement ?

Chez Porsche, aux côtés des modèles Carrera et Turbo, il y a une multitude de modèles dont le tirage et/ou la commercialisation furent brefs. Si ces modèles sont assez diversifiés, ils ont un point commun : une cote délirante. Les 991 GT3 RS sont un bon exemple, elles se vendent plus chères que le prix du neuf, alors que plusieurs milliers d’exemplaires ont vu le jour.

Nous pouvons également citer des modèles éphémères, à l’image des 997 Speedster, de la 997 Sport Classic ou plus récemment de la 991 R.

Achat d’impulsion ?

Nous devons admettre que les Porsche 911 à tirage très limité sont rarement bon marché. Mais la demande est toujours très forte. Prenons exemple sur deux modèles, sortis à un petit mois d’intervalle. La 991 Turbo S Executive Series, à peine présentée, a déjà récolté de nombreuses promesses d’achat. La raison est simple : la demande de modèles exclusifs est toujours très forte, car c’est un investissement sûr : chaque propriétaire a l’assurance de pouvoir revendre sa belle plus chère que le prix d’achat…

Porsche 911 GT2 RS

Venons-en à la très récente 911 GT2 RS, que nous avions illustrée quelques semaines avant sa sortie, les 1 000 exemplaires ont déjà tous trouvé preneurs, alors que le modèle n’a pas encore été présenté de manière officielle. Mais les acheteurs ont compris que l’attrait pour ce modèle serait (très) fort. Une 997 GT2 RS s’échange ainsi pour près d’un demi-million d’euros. C’est deux fois son prix de vente initial…

Mais il y a meilleur exemple encore… La 991 R a dépassé fréquemment le million d’euro, soit un prix de vente quadruplé, le prix de revente est heureusement revenu vers des sommes plus raisonnables, soit entre 3 et 500 000 € actuellement. C’est toujours jusqu’à deux fois le prix de vente constructeur !

Spéculation : Porsche s’en mêle

Un problème connu

Chez Porsche, on a bien conscience du problème. Dernièrement, Andreas Preuninger, responsable de la gamme GT, a déclaré vouloir écarter les spéculateurs des 911 les plus rares, afin de permettre à un public réellement passionné de pouvoir acquérir un joyau de la marque, sans devoir passer par le marché de la seconde main, induisant des tarifs… stratosphériques.

« J’aime voir que nos voitures sont utilisées. C’est pour cela qu’elles sont faîtes. Elles sont trop bien pour être laissées en exposition et prendre la poussière »
Porsche 911 Turbo S Executive

Les solutions contre la spéculation

Si aucune solution concrète n’a été avancée pour mettre fin à la spéculation, Porsche serait plus attentive quant au profil des futurs acheteurs. La multiplication des séries limitées (991 GT2 RS, 991 Turbo S Exclusive Series et la future 991 GT3 Touring) permettront sans doute à Porsche de limiter la traditionnelle envolée des prix puisque davantage de demandes seront exhaussées, avec des modèles tantôt sportifs, tantôt luxueux. La sortie coup sur coup de modèles rares va en ce sens.

Comment contrôler le marché ?

La spéculation ne pose pas de problèmes spécifiques pour Porsche d’un point de vue financier. C’est principalement d’un point de vue de l’image que cela ne passe pas, rendant les modèles rares, inaccessibles au commun des mortels. Il sera très difficile de lutter contre la spéculation. Imaginons. Un propriétaire dont le profil répond aux exigences de Porsche, se décide finalement à vendre sa 991 GT2 RS fraichement acquise. La demande sera tellement forte derrière que le prix demandé dépassera largement l’entendement… Un cercle vicieux dont il sera difficile pour Porsche de se sortir…
Pour plus de renseignements de cette belle sportive, consultez la fiche technique de la nouvelle 911 GT2 RS (Modèle 991).

Porsche 911 : Moteur atmosphérique et boîte manuelle toujours au programme !

Thomas
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Porsche 911 : Moteur atmosphérique et boîte manuelle toujours au programme !

Si Porsche déçoit rarement, il y a tout de même des fois où les poils des puristes se sont hérissés : l’arrivée du Cayenne en 2002, l’implantation de moteurs diesel, la Panamera ou encore la généralisation du turbo sous le capot de la 911. Pour autant, la déclaration récente du directeur des relations publiques vous redonnera le sourire !

Des normes toujours plus strictes

Dans un premier temps, Porsche a retiré le Flat-6 des Boxster et Cayman à l’occasion de leur récent restylage, en 2016. C’est désormais un 4-cylindres suralimenté qui s’est intégré. Quelques mois après, ce sont les 911 Carrera qui ont évolué. Ces dernières gardent le célèbre 6-cylindres à plat, mais la cylindrée chute à 3 litres. Une prouesse rendue possible grâce à l’utilisation de turbo, qui n’est désormais plus l’apanage des 911… Turbo !

L’atmosphérique pas en voie de disparition

Paul Ellis est le directeur des relations publiques pour Porsche, en Australie. Il a récemment expliqué que ce qui contribuait au charme d’une GT3, c’était son moteur atmosphérique. Ce dernier devrait donc demeurer en place le plus longtemps possible. Ce sont principalement les normes écologiques qui ont poussé Porsche (et la quasi-totalité des constructeurs) à opter pour la suralimentation, car cette dernière abaisse notamment les émissions de CO2.

La boîte manuelle non plus !

L’homme énonce le fait que 90% des Porsche 911 vendues en Australie le sont avec la boîte PDK, à la fois plus rapide et moins consommatrice que la boîte manuelle. Il reste donc 10% de boîte mécanique, ce qui en fait un marché toujours intéressant. En compétition notamment, la boîte de vitesse « à l’ancienne » continue de rallier les passionnés. Appelée à disparaître progressivement, elle a même refait son apparition sur la dernière 911 GT3, demandée à l’unanimité par les porschistes. Il y a donc fort à parier que l’avenir de la boîte manuelle soit assuré. « Tant qu’il y aura un client qui voudra une boîte manuelle, nous la produirons« . Ouf !

Passion et raison

Porsche mise beaucoup sur l’histoire de la marque, en faisant régulièrement des clins d’œil aux modèles les plus anciens. Nous l’avons vu en 2011 avec une 997 Speedster au style néo-rétro, en 2013 avec une 991 Targa qui s’inspire clairement de l’aïeule vendue il y a près d’un demi siècle. La demande de Porsche les plus authentiques possibles est croissante. La boîte manuelle comme le moteur atmosphérique font partie, pour beaucoup, de l’ADN de la 911. Ce n’est pas pour rien si la cote de ces 911 continue de grimper !

Porsche : champion 2017 de la satisfaction client

Thomas
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Porsche : champion 2017 de la satisfaction client

J.D Power and Associates est un institut de recherche sur le marché américain. Chaque année, ils récompensent des voitures en tenant compte de la satisfaction client. Comment fonctionne ce concours et quelles sont les Porsche bien placées dans ce classement ?

L’étude de qualité initiale

Derrière ce nom se cache le classement de J.D. Power and Associates, un organisme qui évalue la satisfaction client, 90 jours après la livraison d’un nouveau véhicule. Ce sont donc les propriétaires eux-mêmes qui notent leur auto sur la base de 233 critères. En 2017, 77 000 personnes ont été interrogées, sur 243 modèles provenant de 33 constructeurs différents. Les résultats sont donc probants et représentatifs.

Première place pour la Porsche 911

porsche 911 gts numero 1 satisfaction clientPour la quatrième année consécutive, la Porsche 911 remporte tous les suffrages en temps que voiture sportive dans la catégorie « Midsize Premium Sporty Car« . La qualité de fabrication, la rigueur de l’assemblage, les performances du moteur ou encore la qualité des surpiqûres : rien n’a été épargné, mais la belle s’en tire avec une belle première place.

Pôle également pour le Macan

Satisfaction client Porsche Macan TurboLe Macan conforte sa première position pour la troisième année consécutive, dans la catégorie « Tout-terrain compact et sport ». Une place très honorable, car la concurrence est rude dans cette catégorie très convoitée, où la quasi-totalité des constructeurs automobiles proposent au moins un modèle au sein de leur gamme.

Le 718 Boxster, plaisir éternel

Porsche 718 Boxster Satisfaction clientLe roadster à moteur central Boxster écope lui aussi d’une première place dans la catégorie « Compact Premium Sporty Car ». Une belle démonstration pour ce modèle qui offre une satisfaction client très haute.

Ce n’est pas tout !

Dans leur catégorie respective, le Cayenne et la Panamera Gran Turismo ont chacun fini en troisième position. Jamais encore, l’intégralité de la gamme Porsche n’avait réussi à se hisser aussi haut. La stratégie de Porsche à amener sa production vers une qualité toujours grandissante porte ses fruits. Rendez-vous l’année prochaine !

Porsche va-t-il mettre fin à ses motorisations diesels ?

Philippe
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Porsche va-t-il mettre fin à ses motorisations diesels ?

Avec quelques controverses concernant les émissions polluantes des moteurs Diesel, Porsche envisagerait de mettre fin à cette technologie, au profit de l’hybride et de l’électrique. Mais cela pourrait amorcer une transition bien plus lourde, puisque l’essence sera sur la sellette également.

Le Diesel chez Porsche

Moteur Cayenne Diesel 3lLa véritable apparition du moteur Diesel chez Porsche remonte à 1956, il s’agissait des célèbres tracteurs habillés de rouge. Laissée aux oubliettes, cette technologie habituellement réservée aux trains et aux véhicules utilitaires refait surface en 2009 sur le Cayenne. Cela a choqué bon nombre de passionnés de la marque. Cependant, ce moteur est alors réservé au Cayenne, plus grosse vente de la marque. Il s’étendra par la suite aux Panamera et Macan, mais continuera d’épargner la 911. Seulement voilà, les moteurs Diesel rejettent des particules fines et engendrent pollution et maladies.

La sortie du Diesel

moteur cayenne e-hybrid 3 lLe magazine Manager-Magazin a récemment évoqué le souhait pour Porsche de cesser la vente de voitures diesel. Notons tout d’abord que les Diesel employés par le constructeur de Stuttgart sont ceux du groupe VAG, que l’on retrouve tant chez Audi que Volkswagen. Oliver Blume, PDG de Porsche, souhaite abandonner définitivement le gasoil dès 2022. Le Macan délaissera définitivement le moteur thermique, en adoptant uniquement l’électrique.

Un virage en cours

porsche Panamera Turbo S e-hybridPorsche a eu l’audace de proposer sa Panamera Turbo S avec un bloc hybride. Cela marque le début d’une transition vers le moteur électrique au moins pour les gammes Panamera, Macan et Cayenne.

Le Porsche Club Portes de Provence fait escale en Corse

Philippe
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Le Porsche Club Portes de Provence fait escale en Corse

Sortie Corse, un challenge réussi !

Ce n’était pas forcement gagné d’avance. Faire cohabiter pendant une semaine des porschistes qui ne se connaissaient pas toutes, des membres pour qui c’était une première sortie, des 993, turbo 3.6, 991 4 S, boxter 981 S, des copilotes aguerris et d’autres pas du tout, plus de 1000 km de virages… cela pouvait être un mélange détonant, adapté au tempérament local. C’était sans compter sur la passion et l’enthousiasme des membres du Club Porsche Portes de Provence en cette semaine du 5 au 17 mai 2017.

Rencontre et partage avec le Club Porsche Corse

Nulla, tutu andava bè. Bien sûr les paysages à couper le souffle, certains dépassements aussi, des compagnes très compréhensives y ont été pour beaucoup. Soulignons l’ambiance chaleureuse, l’esprit bout en train, un groupe de passionnés, une cuisine alliant la découverte et des mets plus connus, une météo clémente pour accompagner le tout. Les amis du Porsche Club Corse ont fortement contribués à la réussite de cette sortie en faisant découvrir à leurs homologues du Porsche Club de Provence, la Castagniccia, mais également le bestiaire corse (chèvres, vaches, ânes, chevaux, cochons), certes consulté par avance et qui a répondu massivement présent.

Que de magnifiques souvenirs

Sortie Corse Club Porsche Portes de ProvencesCertains se sont laissés aller et ont fait deux fois le Cap Corse, d’autres ont roulé au rupteur, tous ont apprécié le désert des agriates et son lâché de chevaux (vapeur). Enfin les leçons de monsieur Jean RAGNOTTI, rencontré sur le port d’Ajaccio, lors du voyage retour, leurs auraient été bien utiles.
Au dire de tous une semaine bien trop courte, mais des images et des souvenirs plein la tête. Une sortie à renouveler avec le soutien d’un équipementier en pneumatiques…

RWB enlève le haut, mais pas totalement !

Thomas
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RWB enlève le haut, mais pas totalement !

Le week-end prochain, c’est une 911 un brin particulière qui sera proposée aux enchères par RM Sotheby’s. Il s’agit d’une 911 revue par RWB, le célèbre préparateur japonais, spécialisé dans la Porsche 911 au look street-racing… une préparation effectuée sur d’anciennes 911. Effet garanti avec ce modèle Targa au design unique, une pièce très rare…

Une 964 Targa RWB

RAUH-Welt-Begriff-1991-Porsche-911-964-Targa-02Basée sur une 911 type 964 Targa de 1991, cette préparation signée Rauh-Welt Begriff est audacieuse sur bien des points. À commencer par le véhicule d’origine, qui accuse près de 227 000 kilomètres au compteur, mais aussi par sa ligne spectaculaire. C’est de coutume chez RWB, les ailes sont bodybuildées et simplement rivetées pour un look à mi-chemin entre les préparations japonaises des années ’80 et les préparations allemandes, généralement moins démonstratives, mais bien dans l’esprit Porsche.

Une pièce unique

RAUH-Welt-Begriff-1991-Porsche-911-964-Targa-05Cette belle 911 dispose ainsi d’un kit carrosserie complet, s’inspirant d’anciennes 911 sportives, avec des passages de roues bien plus volumineux, des jantes de 18 pouces en finition bronze brossé. D’un point de vue mécanique, la réfection a été intégrale, avec un kit stage 2 proposé par Hakama. Enfin, une ligne d’échappement sport aurait été montée sur l’auto mais sans plus de détails. En revanche, dans l’habitacle – et c’est un pari osé – nous pouvons y découvrir un module de divertissement, sagement implanté devant le levier de vitesse. Celui-ci donne accès à des informations sur l’auto grâce à un écran tactile, une caméra de recul et différentes fonctionnalités multimédia.

À quel prix ?

RAUH-Welt-Begriff-1991-Porsche-911-964-Targa-04La mise à prix débutera à 100 000 $. Étant donné la rareté des préparations RWB, surtout sur base Targa, les prix pourraient rapidement s’envoler. En même temps, comment résister ?

Et si Porsche revenait en Formule 1 ? Un très hypothétique retour…

Philippe
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Et si Porsche revenait en Formule 1 ? Un très hypothétique retour…

Porsche s’est engagée dans le championnat WEC (qui inclut notamment les 24 heures du Mans) jusqu’en 2019, et cela semble lui réussir après une troisième victoire consécutive le week-end dernier. Mais cela va-t-il continuer longtemps ? Un certain Chase Carey, patron de la Formule 1, était présent au Mans…

Et si Porsche quittait la WEC et les 24H du Mans ?

porsche-retour-en-f1-03Revenue récemment, Porsche a raflé des places et des chronomètres honorables sur le célèbre circuit sarthois. Mais la réglementation propre au championnat WEC semble effrayer bon nombre de constructeurs. Chez Toyota aussi, on s’interroge. Pour Porsche, le contrat court jusqu’en 2019. Mais qu’adviendra-t-il après pour notre constructeur fétiche ? La venue de Chase Carey fut l’occasion pour le patron de la Formule 1 de rencontrer les dirigeants de Porsche. Il les a convié à assister à une réunion privée réservée aux motoristes de Formule 1.

Quel avenir pour Porsche en compétition ?

Cela va de soi, une telle réunion ne vaut aucunement à quelconque engagement. Porsche pourrait très bien renouveler son contrat avec le WEC et rempiler pour quelques saisons. Mais la marque de Stuttgart pourrait aussi prendre un virage à 90° et faire son grand retour en Formule 1, en abandonnant l’endurance. Une discipline qu’elle a quitté en 1962, avec la célèbre monoplace 804. Pour autant, rien ne dit non plus que Porsche viendrait en F1 en tant que constructeur. Un bref retour dans l’histoire de la discipline nous ramène dans les années 1980. Les McLaren-TAG étaient le fruit d’un partenariat avec Porsche pour l’élaboration d’un bloc moteur.

Un engagement de Porsche en Formule E serait plus en adéquation avec sa stratégie future concernant la mobilité et la digitalisation du secteur automobile.

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