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Tout savoir sur le légendaire « test Piwi ». Comment le lire ? A quoi sert il ?

Vous êtes passionné(e) de Porsche, peut-être même que vous en possédez une, ou que vous envisagez l’acquisition d’une 911. L’expression « test Piwi » vous est donc certainement familière, mais savez à quoi elle correspond vraiment ? Nous verrons ensemble en quoi cela consiste et comment l’interpréter. Un mauvais résultat peut inéluctablement faire chuter la cote d’une belle Porsche…

Cet article a été rédigé pour être le plus pédagogique et le plus complet possible. Issu de recherches sur le sujet ainsi que d’une véritable enquête auprès de véritables professionnels du secteur, il se veut avant tout le plus objectif possible. Jusqu’ici peu d’informations étaient disponibles sur le web (en dehors de forums) et lorsqu’elles l’étaient, elles manquaient cruellement d’objectivité. Eh oui! Comment peut-on être objectif sur le rapport piwis lorsqu’il s’agit d’un produit d’appel…

Nous en sommes à la 3ème version (modifié à 95% par rapport à l’article initial) et ne cesserons de l’enrichir.

Voici les outils nécessaires pour décrypter les rapports Piwis (contiennent des informations intéressantes supplémentaires pour l’interprétation du rapport) :
Décrypteur en ligne de rapport piwis utilisable sur iPhone, Smartphone, tablette…
Décrypteur de rapport piwis sous Microsoft Excel

Qu’est-ce que le test Piwi ?… ou plutôt le rapport Piwis

En quelques mots

Vous avez sûrement déjà entendu ce terme, pourtant le « test Piwi » n’existe pas. Il s’agit en fait d’un rapport nommé Piwis. Il se présente sous la forme d’une feuille de papier intégrant diverses données, sans trop de précisions. Pour le néophyte, difficile de s’y retrouver puisque les données sont assez nombreuses…

Ce rapport permet de lire des informations depuis les boîtiers électroniques des 911 récentes (depuis la 996). Il permet la lecture de la couche soft (qui contient valeurs et codes défauts) et sur et la hard (qui contient des informations plus techniques, réservées aux techniciens et spécialistes). Nous pouvons également y trouver des informations plus surprenantes, comme les manuels de réparation, une connexion réseau et des systèmes pour identifier (et parfois solutionner les pannes).

Le matériel de test

veritable et officiel piwi tester II de porsche
Le Piwis Tester II de Porsche

Le matériel de test Piwis était à l’origine réservé aux concessionnaires du réseau Porsche. Ils pouvaient débourser jusqu’à 15 000 € HT pour un équipement Bosch de bonne qualité. Mais bien vite, des copies pas toujours légales ont fait leur apparition. Ces versions disposaient d’un disque dur cloné d’un système Piwis authentique et étaient revendues parfois jusqu’à 5 000 €, sans aucune garantie ni assistance. Le pire ? Les fonctionnalités étaient très limitées et assez peu fiables.

En 2011, Porsche a développé le Piwis II, quittant Bosch pour Panasonic. Le système est alors plus protégé et les copies n’existent plus.

Des copies discutées et discutables

piwi cable et logiciel durametric

Ce matériel non officiel a connu un grand succès avec Durametric. Le logiciel, qui porte le même nom, peut s’installer sur un ordinateur portable. Il dispose d’une interface qui lui est propre et a séduit de nombreuses personnes. Pourtant, les fonctionnalités sont très limitées, n’excédant pas le cinquième de ce que peut produire un réel système Piwis. Comble du comble : ces rapports se repèrent facilement puisque le « S » de Piwis a été supprimé. Aujourd’hui, de nombreuses personnes parlent de Piwi et non de Piwis !



Quelles informations fournit-il ?

Le compteur horaire

Le compteur horaire d’une voiture tourne sans jamais se remettre à zéro. Plus vous l’utilisez, plus sa valeur augmentera. Nous pouvons déduire si le temps d’utilisation est cohérent avec le kilométrage ou non. Il faut savoir qu’une Porsche 911, en vitesse moyenne, excèdera rarement les 50 km/h. Si vous divisez le kilométrage compteur pas le compteur horaire et que vous arrivez à 90 km/h, alors il y a probablement matière à se poser des questions

Les plages de surrégime

Sur les 911 (996 et 997) ainsi que sur les Boxster (986 et 987) puis Cayenne, il y a entre 2 à 6 mouchards qui permettent d’analyser les plages de surrégime. Chaque plage correspond à un nombre d’heures. Pour lire ces données, il faut se référer au nombre d’heure passées sur chaque plage de régime.

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Cas d’un rapport piwis à 2 plages (996, 986, Cayenne, Carrera GT)

Avant de commencer la lecture d’un rapport Piwis, il faut savoir que la plage 1 d’une 996 (ou de tout autre véhicule présentant un rapport à 2 plages) correspond aux plages 1 à 3 d’une 997. De la même manière, la plage 2 d’une 996 représentera les plages 4 à 6 d’une Porsche 911 type 997.

De ce fait, le rapport piwis d’une 996, bien que pertinent, reste moins précis que celui d’une 997. Pour cette raison, nous aborderons la lecture d’un rapport piwis avec une Porsche 911 de type 997.

test piwis tableau des sur regimes porsche 911 boxster cayenne
Tableau des plages de surrégime des Porsche 911 (996 & 997), Boxster (986 & 987) et Cayenne

Cas d’un rapport piwis à 6 plages (997, 987, 991, 718)

Prenons l’exemple d’une Porsche 911 (997) Turbo dont voici le Piwis :

HPRS rapport piwis 911 turbo
Merci au Garage HPRS de Cannes pour la fourniture de ce rapport Piwis

Voici la façon dont le rapport doit être lu :

tableau interpretation test piwis

Voilà le rapport Piwi interprété avec notre décrypteur de Piwi :

tableau interpretation test piwi exemple porsche 911 turbo

Dans cet exemple nous voyons donc :

  • que le véhicule a 1 325,2 heures d’utilisation. D’après le compteur, celui-ci affiche un kilométrage de 72060 km. Ce qui fait une vitesse moyenne de 72060 / 1325,2 = 54,4 km/h. Cette vitesse semble cohérente puisqu’en moyenne, une Porsche roule à 48 km/h en utilisation mixte. Si on prends le nombre d’heure d’utilisation et qu’on le convertit en distance parcourue avec un vitesse moyenne de 48km/h, nous aurions trouvé un kilométrage de 1325,2 * 48 = 63609 km. Le kilométrage de 72060 km du véhicule semble cohérent, même s’il peut éventuellement traduire, soit une utilisation plus fréquente sur autoroute, soit une utilisation plus sportive que la moyenne.
  • que le véhicule a franchi 1 582 allumages en plage 1 donc avec un régime moteur compris entre 6800 et 6999 tr/mn, le dernier allumage ayant eu lieu à 1311 heures soit environ 71 318 km.
  • que le véhicule a franchi 581 allumages en plage 2, avec un régime moteur compris entre 7000 et 7199 tr/minutes, le dernier allumage ayant eu également lieu à 1311 heures soit environ 71 318 km

 

Si nous prenons le sous-exemple de cette plage 2 à 581 allumages, sachant que sur un moteur 4 temps nous avons 3 allumages par tour de vilebrequin, donc 581/3 = 194 tours de vilebrequin, pour un régime médian de 7100 tours / minute, ce qui signifie que ce régime a été maintenu : 194 * 60 / 7100 = soit 1,6 seconde.

Si nous prenons l’exemple pour les plages 3 à 6. En utilisant notre décrypteur de Piwis Excel, nous nous apercevons que la somme des surrégimes de ce moteur de la plage 3 à 6 correspond à 1,3 seconde et que ce surrégime s’est produit à 70 769 km.
Dans l’ensemble de la vie de cette Porsche 911 Turbo (997), le véhicule a vécu en tout 7,5 secondes de surrégime. C’est peu et beaucoup à la fois.

En effet, ce qui pourrait être inquiétant, c’est le surrégime des plages 3 à 6, ce genre de surrégime pouvant entrainer des dommages importants au moteur. Toutefois, si ce surrégime est ancien et le moteur a résisté à ce surrégime, ces secondes ne doivent en rien être alarmantes.

En général, les Piwis ne présentent que quelques secondes de surrégime au maximum.

Dans notre exemple de cette 911 Turbo, il est fort probable que le conducteur de ce véhicule ait raté une vitesse au kilométrage 70 769 km. Si le véhicule n’a pas subit de dommage à ce moment là : aucun problème, d’autant plus qu’il s’agit de l’infatigable bloc Mezger. Sur un autre modèle de Porsche, ce surrégime aurait pu avoir d’autres conséquences plus importantes. Chaque Piwis est unique et doit être interprété en fonction du véhicule et de la robustesse du moteur dont il est équipé.

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Qu’apporte véritablement le piwis ?

Des informations pertinentes

Le compteur horaire

Vous l’aurez compris, le compteur horaire du rapport pourra être un véritable indicateur du kilométrage réel de la voiture.

Une vitesse moyenne de 45 à 55 km/h est dans les normes.

Une vitesse inférieure à 40 km/h traduira soit :

  • une utilisation majoritairement urbaine du véhicule. Ce n’est pas obligatoirement une bonne chose pour la mécanique de nos belles cylindrées.
  • soit un compteur qui aurait subi des « modifications » pour présenter un kilométrage inférieur à son kilométrage au réel. Mais attention, si la modification est « bien faite », la durée d’utilisation sera modifiée proportionnellement au kilométrage et vous aurez un Piwis limpide avec une vitesse moyenne cohérente. L’état des éléments d’usure pourra éventuellement corroborer votre interprétation du « test ».

Une vitesse supérieure à 55-60 km/h devra être considérée comme suspecte traduisant très certainement une utilisation des plus sportives sur circuit.

Les plages de surrégime

Les plages de surrégime, si elle sont existantes, peuvent vous apporter des informations essentielles sur l’état du moteur du véhicule que vous souhaitez acquérir.

Un véhicule dont le rapport présente des plages 3, 4 et 6 avec des durées de surrégime significatifs, pourra traduire un moteur malmené. Si le moteur a été amené plusieurs fois à ses limites, il pourrait présenter d’importants dégâts pouvant aboutir à une casse moteur.

Un bref surrégime en plage 4, 5 et 6 ayant eu lieu il y a 20.000km ne doit pas vous faire peur. Si le moteur avait connu des dégâts, ils auraient été visibles il y a bien longtemps. Bien évidemment, l’absence de plage 4, 5 et 6 est préférable, mais ne faites pas le raccourci rapports piwis sans plage 3 à 6 = moteur sain.

Le rapport Piwis et ses limites

Au départ réservé aux concessionnaires, le rapport Piwis est aujourd’hui devenu incontournable pour certains qui ne jurent que par cela. Il peut paraître rassurant. Toutefois, il a ses limites. Ne vous arrêtez surtout pas à sa seule lecture et interprétation. Il va certes vous donner des informations pertinentes mais il n’est ni un test de validation de l’état général de la Porsche que vous convoitez, ni la certitude de disposer d’une Porsche dans un état mécanique sain.

En effet :

  • Sur un rapport piwis, vous ne verrez jamais si l’ancien propriétaire a respecté le temps de chauffe du moteur avant de le solliciter. Pour cette raison, si vous pouvez acquérir un véhicule de passionné, il s’agit d’un meilleur gage de qualité qu’un rapport Piwis « sain ». Un véhicule malmené à froid présentera plus de risque de casse moteur qu’un véhicule « respecté » mais roulant ponctuellement sur circuit.
  • De la même manière, vous ne verrez jamais le sérieux du suivi d’un véhicule en terme d’entretien en lisant son test piwi… pardon, rapport piwis. Un carnet d’entretien limpide, soigneusement rempli et respectant les intervalles d’entretien préconisés, est le seul gage d’un véhicule entretenu avec sérieux. Concernant l’entretien, le sérieux et l’expérience du garage en question ne doit pas être négligé et devra être pris en compte lors de la décision d’achat.
  • Certaines données peuvent ne pas être cohérentes, des bugs sont toujours possibles, il s’agit de données informatiques qui peuvent être altérées avec le temps. Mais en général, ces bugs sont mineurs et ne concernent que quelques allumages, c’est-à-dire pas grand chose.
  • Il est malheureusement possible sur internet de supprimer des plages de surrégime, faussant la validité de ce rapport piwis. Il est cependant difficile d’évaluer l’ampleur de ces malfaçons.
  • Un moteur qui monte dans les tours (en dehors des surrégimes en plage 4 à 6) ne risque pas davantage de casser qu’un moteur peu sollicité. Les Porsche sont des sportives reconnues pour leur fiabilité et conçues pour être exploitées de manière sportive.
  • Pour finir, certains vendeurs peu scrupuleux vous l’exhiberons pour vous rassurer. Si vous leur demandez de disposer d’une copie et qu’ils ne vous le remettent pas. Posez-vous des questions sur le sérieux de votre interlocuteur et sur la véracité et l’origine de ce rapport piwis.

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Ce qui compte vraiment : l’état de la mécanique de la Porsche convoitée au moment de son achat

Le plus important lors de l’achat d’une Porsche d’occasion, c’est la mécanique. Des problèmes peuvent aussi bien survenir sur les véhicules conduits avec sportivité que ceux conduits en mode « balade » (voir modèles de 911 et de Boxster concernés par ce problème d’IMS dans notre analyse détaillée du problème d’arbres intermédiaire).

Se faire accompagner par une personne s’y connaissant en mécanique est déjà une bonne chose pour éviter de faire une mauvaise affaire. Mais vous aurez loin d’avoir tous les éléments en main pour savoir si le véhicule est sain.

L’idéal serait de pouvoir réaliser des tests sur le véhicule : analyse de l’huile moteur et vérification de la pression des cylindres au minimum. Pas évident en tant que particuliers. Le garage lambda aura rarement effectué ce genre de test avant la mise en vente d’une Porsche. La connaissance de la mécanique de nos belles allemandes demande une réelle expertise et une grande expérience dans le domaine. Pour cette raison, nous vous conseillons de réaliser si possible votre achat dans un garage spécialiste Porsche indépendant ou un Centre Porsche officiel, plutôt qu’un garage multi-marque. De la même façon, un véhicule d’occasion entretenu dans le réseau Porsche officiel ou chez un garage indépendant spécialisé reconnu, sera plus « recommandable », qu’une Porsche entretenu chez le garagiste du coin, même s’il y en a de très bon.

Conclusion : demandez le rapport Piwis mais ne vous arrêtez pas son interprétation

Vous l’aurez compris, dans la majeure partie des cas, le rapport piwis nous permet de disposer d’informations pertinentes, mais il n’est en rien le gageur de la fiabilité de la Porsche que vous convoitez. Respectez nos différents conseils d’achat vous permettra déjà d’éviter bien des déconvenues.

Cet article a été rédigé en se référent à de nombreuses sources : notre enquête auprès de plusieurs spécialistes utilisant ces rapports au quotidien, forums (remerciement à Claude Rousselet de Station Compteurs alias Gedeon25 concernant la description du matériel), articles anglo-saxon sur le sujet.

Philippe
Philippe
Porschiste passionné et pratiquant, membre de la Fédération des Porsche Club de France, digital addict et rédacteur en Chef de 911andCo

6 COMMENTAIRES

  1. Belle article sur le rapport piwis! Promis je ne parlerai plus de test piwi :-p!
    Maintenant, perso, j’aurais dit que le monsieur qui avait cette belle TT c’est aussi bien amusé avec… quand même 7,5 secondes de surrégime… bon après, faut voir avec un pro qui en voit passer souvent.
    En général, ce ne sont pas des enfants de coeur qui roule des TT, je parle d’expérience :-)!
    Pour une Turbo, entre 5 et 10 secondes c’est peut-être la norme :-)))))))

    • Bonjour Steph, en effet, les possesseurs de 911 TT sont rarement des enfants de cœur. En même temps, difficile de l’être au volant d’une telle diablesse! En effet, il y a 7,5 secondes de surrégime, mais ils sont majoritairement en plage 1 et 2. Les plages 4, 5 et 6 ne représentent « que » 0,8 seconde. Rien d’alarmant su un bloc Mezger… sur une 911 Carrera / Carrera S, de tels surrégimes auraient certainement quelques conséquences. Il faut prendre le rapport Piwis pour ce qu’il est… un simple indicateur qui porte à interprétation. Ce n’est qu’un élément à analyser parmi tous ceux dont il faut tenir compte au moment de l’achat de votre Porsche. L’analyse du carnet d’entretien, l’analyse visuel du châssis, du moteur, de l’origine du véhicule (particuliers, leasing, location…), le sont tout autant. Merci pour votre commentaire. Salutations Porschistes. Philippe.

  2. Bonjour,
    Il me semble que vous faites une erreur concernant l’éventuel modification de compteur. En effet, c’est plutôt un kilmétrage moyen bas qui doit alerter, plutôt que le contraire comme vous le dites.
    En effet si un compteur mentionne 70000 kms réels pour 1400 h d’utilisation, on a donc 50km/h de moyenne.
    Si vous baissez ensuite le kilométrage au compteur pour l’amener à 50000 par exemple, vous allez ressortir une moyenne de 35.71 km/h pour 1400h.
    Une moyenne haute à 60km/h pour 1400 h montrerait ici 84000 kms.
    C’est donc bien la moyenne basse qui doit alerter plutôt que la moyenne haute. Toutefois, la moyenne basse peut en effet montrer une utilisation urbaine donc pas nécessairement un trafic de compteur.
    Si ce n’est ce point, article très bien fait et instructif !
    Laurent

    • Bonjour Laurent, en effet, remarque pertinente. Dans le cadre de l’analyse d’un rapport Piwis, une vitesse moyenne basse alerte d’un compteur qui aurait été trafiqué et où le kilométrage aurait été revu à la baisse. Je rajouterais que très souvent, si le compteur kilométrique est trafiqué, le compteur horaire l’est aussi et la vitesse moyenne du rapport Piwis sera dans les normes. Bon, avec un peu de chance, il est possible de tomber sur des escrocs peu doués. D’où l’importance de bien vérifier la mécanique, de se faire accompagner par un expert qui saura reconnaître les signes d’un moteur ou d’un châssis en mauvais état ou qui n’a pas l’âge qu’on voudrait bien lui donner. Attention, je parle d’un véritable expert. Dans le milieu porschiste, il y a à boire et à manger dans le domaine des « experts ». Si vous souhaitez le nom d’un véritable expert, n’hésitez pas à nous consulter. Nous disposons des coordonnées de plusieurs experts reconnus qui sauront vous accompagner dans la quête de votre future Porsche. Merci pour votre intervention. Salutations Porschistes. Philippe.

  3. Très bel article, qui va à l´essentiel.
    Par contre lorsque vous assurez qu´ « Une vitesse supérieure à 55-60 km/h devra être considérée comme suspecte traduisant très certainement une utilisation des plus sportives sur circuit. » , je suis obligé d´en douter.
    J´ai un trajet quotidien (communales, départementales, autoroutes) d´environ 90 km aller/retour que je fais en Fiat Punto 1,3L Diesel pour me rendre au travail. Elle affiche régulièrement une vitesse moyenne se situant entre 60 et 62 km/h. J´ai certes une conduite, très légèrement « sportive », mais de là à me comparer à un pilote !!!
    Et c´est environ la vitesse moyenne que j´ai également sur ma Porsche, que j´utilise de la meme manière en termes de « conduite ».

    Salutations Porschistes 😉

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